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31 mars : Journée internationale de la visibilité transgenre

« La République offre à toutes les femmes et à tous les hommes les mêmes droits et les mêmes chances de réussite. Nos valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité nous rassemblent, dans toutes nos singularités, dans toute notre diversité. »

A l’occasion de la journée internationale de la visibilité transgenre, la ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur, chargée de la citoyenneté, Marlène SCHIAPPA, réaffirme l’engagement du ministère à combattre la transphobie sous toutes ses formes.

Pour le 8 mars, journée internationale des droits des femmes, Marlène Schiappa a envoyé un signal fort pour la visibilité transgenre avec le lancement de l’exposition des 109 Mariannes sur le parvis du Panthéon, mettant à l’honneur des parcours de vie de femmes, parmi lesquels :

  • Aela Chanel, Miss Trans France 2020, elle met sa notoriété et son titre au service de la visibilité, la représentativité et l’inclusion des femmes transgenres.
  • Marie Cau, maire de Tilloy-lez-Marchiennes (Nord) ingénieure et consultante informatique. Première femme transgenre élue maire (2020), « Je suis devenue le symbole d’une normalité possible »
  • Jade, influenceuse, qui met sa notoriété auprès de ses centaines de milliers d’abonnés qui la suivent pour sensibiliser aux thèmes liés notamment à la transidentité et aux discriminations. Cette démarche volontaire et inédite s’inscrit dans le cadre du Plan national de lutte contre les LGBTphobies 2020-2023, dans lequel le ministère de l’intérieur s’engage à travers 13 mesures concrètes.

Les agents du ministère de l’Intérieur se doivent de nouer un lien de confiance avec la population. Parce que c’est l’honneur et la mission des fonctionnaires de police et des militaires de la gendarmerie d’être en protection de toutes et de tous, le ministère de l’Intérieur affirme sa volonté de lutter contre toutes les discriminations.

L’ensemble des forces du ministère de l’intérieur s’investit quotidiennement pour permettre aux victimes d’homophobie, de biphobie et de transphobie d’être prises en charge sans subir la double peine de l’agression et d’un accueil inadéquat. Pour cela des formations sont engagées chaque année, et un réseau de référents dédiés à la lutte contre les LGBTphobies se met en place sur l’ensemble du territoire.

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