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  Marion Rouviere : « Chez keyCom, l’IA propulse, et l’humain illumine. »  

KeyCom est une agence de traduction et de communication multilingue fondée par Marion Rouvière à Montpellier. L’entreprise offre une gamme de services linguistiques spécialisés, y compris la traduction, la localisation, la rédaction, SEO, l’interprétation, ainsi que des services audiovisuels comme le doublage.

Pouvez-vous nous parler de votre parcours Maion Rouvière ?

Passionnée par les langues et les cultures, j’ai obtenu une licence en Littérature, Langue et Civilisation Étrangères à l’Université de Nîmes. Hésitant entre l’enseignement et la traduction à l’époque, j’ai postulé à l’IUFM de Montpellier, pour devenir professeur d’espagnol, et à l’Université autonome de Barcelone, pour suivre un Master en traduction et médiation interculturelle. D’abord acceptée à l’IUFM, j’y ai passé trois semaines et j’ai immédiatement compris que ce n’était pas pour moi. Peu après, j’ai reçu une réponse positive pour le master de Barcelone et j’ai donc quitté l’IUFM pour me concentrer sur cette formation. Une fois diplômée, j’ai travaillé dans une agence de traduction en Espagne, avant de devenir traductrice freelance pendant 7 ans. Il y a trois ans, j’ai fondé KeyCom pour offrir des servies linguistiques personnalisés aux entreprises internationales.

Quelles sont les plus grandes difficultés que vous rencontrez dans votre travail de traducteur ?

Les principales difficultés résident dans les nuances culturelles et les termes sans équivalent direct. Respecter des délais serrés tout en maintenant la qualité est un challenge constant. De plus, la qualité du texte d’origine est essentielle : un texte ma rédigé, sans ponctuation claire, ou écrit par une personne qui maîtrise mal la langue peut rendre la traduction bien plus compliquée et affecter le résultat final.

Quels sont les types de textes qui posent le plus de problèmes (techniques, littéraires, juridiques, etc.) ?

Les textes techniques, financiers et juridiques demandent une rigueur absolue à cause de leur précision et vocabulaire pointu. Mais un texte marketing peut être tout aussi délicat : il ne s’agit pas seulement de traduire les mots, mais de capter l’émotion, l’impact, et d’adapter le message à une culture différente. C’est là que se joue toute la subtilité de la traduction, où chaque mot compte pour que le message reste percutant et engageant.

Comment gérez-vous les termes intraduisibles ou les concepts spécifiques à une culture ?

Nous contactons souvent le client pour obtenir des précisions. Nous évitons les traductions littérales et préférons utiliser un équivalent adapté, suivi d’une courte explication pour clarifier le terme tout en maintenant la pertinence pour le public cible.

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