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L’intérêt économique et l’amour de l’argent s’effacent devant la défense des Droits de l’Homme

Sous l’influence des organisations islamiques et des monarchies pétrolières du Golfe, devant lesquelles l’Occident se prosterne, le Monde libre se fissure rapidement. Il est tragiquement regrettable de constater que les Sociétés néerlandaises (et autres compagnies occidentales) n’osent pas exiger des Saoudiens qu’ils accordent aux femmes saoudiennes et aux non Musulmans leurs droits les plus élémentaires et ce pour ne pas mettre en péril les transactions commerciales. L’intérêt économique et l’amour de l’argent s’effacent devant la défense des Droits de l’Homme.

Ulcéré par les discours islamolucides de Geert Wilder – seule la vérité blesse – le gouvernement saoudien a interdit aux sociétés néerlandaises toute participation aux futurs projets commerciaux locaux, sous prétexte que le gouvernement néerlandais n’a pris aucune mesure contre le leader du Parti de la Liberté (Freedom Party) qualifié d’extrême-droite, coupable d’avoir dénigré le royaume saoudien et l’islam. Le vilain islamophobe Geert Wilders a blasphémé contre le «doux, le pacifique, le tolérant islam», il doit être puni, sinon gare aux sanctions.

Le Conseil de la Chambre de Commerce saoudienne a reçu une lettre des hautes autorités lui imposant de ne plus faire appel aux sociétés néerlandaises soit directement, soit indirectement, pour des projets locaux.

Le gouvernement a aussi appelé à réduire le nombre de visas délivrés aux hommes d’affaires et investisseurs néerlandais et à limiter la durée de leur séjour, à moins qu’ils ne soient impliqués dans des projets vitaux. De même, des instructions ont été données pour arrêter les échanges de visite entre les délégations des deux pays.

La décision a été prise après l’envoi d’une lettre de l’ambassadeur saoudien aux Pays-Bas au ministre des Affaires étrangères, suite à une «insulte» proférée par Geert Wilders envers l’islam et le royaume saoudien.

L’homme d’affaires saoudien Abdul Rahman Al-Rabeeah, président du «Saudi-Indian Business Council” a approuvé la décision du gouvernement et a déclaré à « Arab News » :

« Ceux qui attaquent l’islam et l’Arabie saoudite sans AUCUNE RAISON VALABLE ne sont pas les bienvenus dans le royaume» ajoutant que les responsables gouvernementaux des pays étrangers devraient mesurer les conséquences d’une attitude aussi irresponsable.

C’est une façon comme une autre d’imposer le délit de blasphème à l’Occident.

La décision du gouvernement saoudien a été transmise à tous les organes gouvernementaux, à toutes les Chambres de commerce et d’industrie, et à toutes les sociétés commerciales.

Les Pays-Bas figurent parmi les dix premiers partenaires commerciaux de l’Arabie saoudite. Le montant des échanges commerciaux bilatéraux dépassent les 25,3 milliards de SR (= 6.7 milliards de dollars). Jusqu’à la fin de 2008, les investissements néerlandais en Arabie saoudite s’élevaient à plus de 7,5 milliards de dollars dans plus de 199 projets.

Plusieurs sociétés saoudiennes se sont rapidement conformées à la décision du gouvernement et ont arrêté toutes transactions avec les compagnies néerlandaises.

Lors d’une récente déclaration, Geert Wilders, membre du Parlement néerlandais, avait critiqué le drapeau saoudien et affirmé que la « Shahadah » ou profession de foi islamique, écrite sur le drapeau, devrait être remplacée, à cause des injures et obscénités qu’elle suggérait.

L’islam est une idéologie très vulnérable à la critique, c’est une idéologie fragile et tel un château de cartes, il peut facilement trembler sur sa base et s’effondrer, dès lors Geert Wilders représente une véritable menace pour cette « religion », car il met à nu sa véritable nature.

Comment va réagir le gouvernement néerlandais, face à ce chantage saoudien ?

Aura-t-il le courage de rétorquer que « ceux qui attaquent, menacent et persécutent les Juifs et les Chrétiens dans le monde musulman SAN AUCUN MOTIF VALABLE ne sont pas les bienvenus en Occident. »

Ou Geert Wilders deviendra-t-il l’homme à abattre pour protéger les intérêts commerciaux du royaume d’Orange ?

Etrange que nos gouvernements occidentaux n’expriment pas leur indignation aux chefs d’états arabo-musulmans, quand des imams ou des orateurs musulmans s’expriment de la sorte :

«La vie et les biens d’un moushrik (d’un non-musulman) deviennent halal dans le contexte du jihad (selon la charia tout musulman peut légitimement et légalement s’en emparer). Le prophète, qu’Allah prie sur lui et le salue, dont je viens de citer le hadith (les propos) a dit : ‘J’ai reçu l’ordre de combattre à mort les gens jusqu’à ce qu’ils déclarent : la ilaha illa Allah, il n’y a de dieu qu’Allah, et s’ils le disent (s’ils prononcent la formule par laquelle ils se convertissent à l’islam) ils préserveront de moi, leurs vies et leurs biens. »

Ce qui signifie que s’ils ne disent pas la ilaha illa Allah (s’ils ne prononcent pas la formule et ne se convertissent pas à l’islam), leurs vies et leurs biens deviennent halal (licites) pour les musulmans (les musulmans auront le droit de les tuer ou de les réduire en esclavage et de s’emparer de leurs biens).

« Les moushrikoun (les chrétiens) sont najass (souillure), ils sont immondes, spirituellement immondes, ils ne peuvent être purifiés que par le « tawheed » (l’affirmation de l’unicité d’Allah).»

– Yasir Qadhi, membre de l’ICNA (Islamic Circle of North America), un groupe islamiste rattaché à la Confrérie fasciste des Frères musulmans. (Source : Poste de Veille).

Seule la cupidité peut justifier la lâcheté de l’Occident, face à l’arrogance et au chantage des monarchies du Golfe, qui elles ne se privent pas de financer non seulement l’idéologie rétrograde salafiste/wahhabite dans nos écoles, universités et organisations internationales, sans oublier les nombreuses mosquées qui pullulent en Occident, mais également le terrorisme islamiste contre l’Occident.