France/Allemagne: Construire ou détruire ?
Face à la volonté forte, du côté allemand, de rendre beaucoup plus étroits et fructueux les rapports entre l’Allemagne et la France, qui s’incarne de manière privilégiée dans le plan concret à la fois courageux et audacieux voulu par la ministre-présidente de Sarre Annegret Kramp-Karrenbauer Stratégie France, quelle est la réaction de la France ? Elle décide non pas de construire une réponse qui précisément corresponde à cette ambition ainsi appelée à devenir vraiment partagée, mais bien au contraire de déconstruire comme disent les demi-savants – en clair : de détruire en le bazardant le peu (et déjà trop peu !) qu’il y avait de spécifiquement franco-allemand dans l’enseignement secondaire, voire parfois primaire en France, en supprimant notamment les classes bilingues et les sections européennes. Devant l’effort et l’action nécessaires, du côté français, c’est courage, courage, fuyons !
Ce choix est d’autant plus incompréhensible et nuisible que l’enjeu est aussi – et peut-être même avant tout – d’emploi. Et à double titre : les emplois que dans les années et les décennies à venir la Sarre va devoir pouvoir pourvoir de la manière la plus stable et la plus sûre pour elle, c’est-à-dire les emplois qui seront offerts en premier lieu aux Mosellans et aux transfrontaliers en général. C’est pourquoi, en plein accord avec le Président du Conseil Général de la Moselle, Patrick Weiten, et mon collègue Céleste Lett, député-maire de Sarreguemines, je soutiens la politique constructive de maintien et de développement du franco-allemand en général, mais très particulièrement dans l’enseignement à tout niveau, car c’est celle de lucidité, de la jeunesse, de l’ouverture de l’audace : bref de l’emploi donc de l’espoir et de l’avenir.
Nathalie GRIESBECK
Députée européenne Grand-Est / MoDem
PIERRE FRANCK HERBINET
» Au-delà du devoir de mémoire »
Une organisation – sui generis -, en apôtre de l’ouverture, polyglotte, l’Europe honore-t-elle la conviction pacifique de l’univers ?
Nul doute, le spectre massacra jadis l’âme d’un monde marxiste qui chavira dans l’abîme. Il était une fois, le – Mur de Berlin -. Le 9 novembre 1989, le – Rideau de fer – tomba, ce – Mur de la honte -, né de la guerre froide, subissait les convulsions du peuple allemand. Un fulgurant rêve naquit alors, – l’Europe n’acceptera plus jamais d’être divisée -. Par une nuit bleue pétrole, une éclipse bleue ciel épousa l’azur profond, au ciel se dessina un arc en sel, quand magistralement, Milan Kundera souligna – la tragédie des pays satellites de la Russie -. Alors de battre, la pulsation soviétique s’est arrêtée avec la victoire de la liberté sur l’oppression totalitaire. Osons l’arrêt de la pénurie économique et la mort de la dictature du prolétariat. Dès lors, l’Europe illumina – soyez résolus de ne servir plus, et nous voilà libres -. Aucune hésitation, il nous faut fonder la démocratie européenne aux jours qui filent.
L’ Europe libre, démocratique distille une essence, une existence à nulle autre pareille.
Les institutions européennes étincellent dans la lumière, demain à l’heure de vérité, que restera-t-il de notre devoir de mémoire ?
– Ce siècle avait deux ans, Rome remplaçait Sparte … -. Les traités de Rome conclus en 1957 portent sur les fonts baptismaux la Communauté économique européenne et la Communauté européenne de l’énergie. En regard de la consolidation de la paix, l’Europe, seconde virginale, traverse les portes du temps avec une diplomatie d’influence. Alliage et fusion, l’Europe incarne un devoir d’initiative, une idée, une méthode, une amitié, une coopération et une communauté internationale de valeurs. Lettres en vers, lettres de verre, capitales poétiques en lettres capitales, Europe seras-tu là ? Se laisser conter l’Europe des arts, de la liberté, de la paix, de la mobilité, de la diversité et de la solidarité, une union sans cesse plus étroite, à l’idée même telle que les Pères fondateurs la conçurent. Si d’aucuns ne pensent interdire la mue, loin du rouge sang de la barbarie, l’Europe est la gardienne des libertés, des principes démocratiques, de la dignité humaine et du dialogue entre les citoyens et les institutions européennes.
Couleur Europe, que j’aime ta couleur … EUR – OPE ! !
S’il suffisait d’un ruban à nul autre pareil avec tatoué dessus – Hey, Halo, Salut, Hola ou Hej – sur un espace homogène de créativité …
En un mot, l’Europe eût des maux et des émotions. De l’ombre à la lumière, la critique analyse les guerres en clair-obscur. Histoire à contre-jour, les idéaux du bloc déplurent, la cruauté l’avait alors emporté, et à l’inverse, l’Europe jaillit comme un ange. Sur – un petit cap du continent asiatique – (Paul Valéry), des – Lieux de mémoire – existent comme les plages de Normandie, le camp d’Auschwitz et les vestiges du mur de Berlin. De – Mémoires – de Monnet en – déclaration Schuman -, la jeune élite politique porte un drapeau, une devise, un hymne, 24 langues officielles, des droits civiques, des mesures de protection du climat et la poursuite du processus d’intégration. – Unis dans la diversité -, les diplomates parlementent du Portugal à la Grèce et de la Finlande à l’Irlande. A l’aune des valeurs de liberté, de justice et de démocratie, l’Europe est ce qu’elle veut bien être, riche de politiques (agricole, étrangère, économique, régionale …) et de protections (consommateurs, environnement …). Eu égard le terrorisme international, le changement climatique et les chocs de la mondialisation, les inconnues ne cessent de croître. A l’aube de ce siècle, la construction européenne est un combat en faveur de la paix kantienne et la promotion d’une mosaïque de cultures, où le vivre ensemble se réinvente chaque jour.
Un peu de fierté, que diable !
Comme Victor Hugo en 1802, Pierre-Franck Herbinet est né en 1976 à Besançon, une ville solidaire et innovante. Ayant vécu à Dijon, Amiens et Paris, il développa une étude en faveur de l’Italie et de l’Allemagne, puis il rejoint en 2000 la génération Erasmus à Birmingham sur le campus d’ Aston university. Sherpa de Corinne Lepage en 2010, lauréat de Terra Nova à Strasbourg en 2011 avec Olivier Ferrand, luttant contre la torture avec l’ACAT en 2012, Pierre-Franck Herbinet assiste le groupe Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe sis au Parlement européen. En 2012, l’Eurodéputée Nathalie Griesbeck offre un lancement officiel sur la scène diplomatique en la qualité d’espoir centriste pour la région Franche-Comté.
Sherpa, diplomate et secrétaire général, Pierre-Franck Herbinet a foi en le projet européen à Amsterdam, Vienne, Prague, Varsovie, Copenhague, Luxembourg, Athènes, Helsinki, Tallinn, La Valette, Dublin, Bratislava, Riga, Bucarest, Berlin, Budapest, Madrid, Nicosie, Stockholm, Bruxelles, Rome, Ljubljana, Sofia, Lisbonne, Zagreb, Vilnius et Paris.
Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe (ALDE)
Mouvement Européen (ME)
Mouvement Démocrate (MoDem)
Union des Démocrates et Indépendants (UDI)
Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture (ACAT)
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PIERRE FRANCK HERBINET
Histoire
Description
Pierre-Franck Herbinet
Présentation
Comme Victor Hugo en 1802, Pierre-Franck Herbinet est né en 1976 à Besançon, vieille ville espagnole. Ayant vécu à Dijon, Amiens et Paris, il développa une étude en faveur de l’Italie et de l’Allemagne, puis il rejoint en 2000 la génération Erasmus à Birmingham sur le campus d’ Aston university.
Sherpa de Corinne Lepage en 2010, lauréat de Terra Nova à Strasbourg en 2011 avec Olivier Ferrand, luttant contre la torture avec l’ACAT en 2012, Pierre-Franck Herbinet assiste le groupe Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe sis au Parlement européen.
En 2012, l’EuroDéputée Nathalie Griesbeck offre un lancement officiel sur la scène diplomatique en la qualité d’espoir centriste pour la région Franche-Comté.
Vos plus belles réussites
Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe sis au Parlement européen