ECOLOGIE LIBERALE EST DE RETOUR
Selon sa co-fondatrice et première présidente, Isabelle Chevalley, ce mouvement s’était formé au printemps 2003 pour soutenir l’initiative « Sortir du nucléaire ». Plusieurs personnalités issues de différents partis bourgeois avaient alors exprimé le souhait de poursuivre cette action de défense de l’environnement avec une approche de droite[1].
Ce mouvement exprime une opinion très favorable à la défense de l’environnement et se groupe pour mener des actions dans cette optique, tout en défendant une approche libérale de l’économie et de la société. Écologie libérale vise aussi à sensibiliser les autres élus de droite à l’écologie.
Le nom du mouvement ne doit pas faire croire qu’il s’agit d’un groupe appartenant au Parti libéral. Les membres sont issus de tous les partis de droite, c’est-à-dire du PDC, du Parti radical, du Parti libéral et de l’UDC. Il y a aussi des membres indépendants.
Écologie libérale est parfois comparé au mouvement né à Zurich nommé les Verts Libéraux. Bien que les idéologies de ces deux groupes soient les mêmes, ce sont deux institutions différentes. En effet, les Verts Libéraux sont un parti. Leur manière de défendre leurs idées est donc de présenter des candidats aux élections, pour que ceux-ci puissent ensuite appliquer la politique en laquelle ils croient dans les parlements et les gouvernements. Ecologie libérale, au contraire, est un mouvement. La présidente le qualifie parfois de Think Tank. Ecologie libérale ne présente donc pas de candidats aux élections (à l’exception notable des élections fédérales de 2007, voir ci-dessous) et se contente de faire de l’information, de la sensibilisation et des propositions
Le mouvement a présenté une liste pour les élections fédérales de l’automne 2007 dans les cantons de Neuchâtel, Vaud et Valais, mais aucun de ses candidats n’a été élu. Écologie libérale a obtenu 3.67% des suffrages dans le canton de Vaud, 1.56% dans le canton de Neuchâtel et 0.99% en Valais
D’après CY