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LES SUBVENTIONS PAS TRES GAIES DU LOBBY HOMO

 

 

 

C’est la crise, mais pas pour le lobby gay.

Prenez Act Up-Paris, l’association dont plusieurs mem­bres (sur les 150 revendiqués) avaient agressé Mgr Patrick Jacquin, le recteur de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris en 2005 ou qui avaient, l’année d’avant, dégradé la façade de l’Elysée.

Act Up : plus de 200 000 € de subventions

En 2010, derniers comptes disponibles, elle a reçu 233 750 € d’argent public dont 15000 € de la région Ile-de-France. De quoi employer douze permanents ! Officiellement, ils participent à la lutte contre le SIDA – ce qui justifie les 20 000 € de subventions annuelles allouées par l’Institut national de pré­vention et d’éducation pour la santé.

Mais ne croyez pas que tous ces subsides les aient calmés : pas plus tard qu’en décembre 2012, Act Up-Paris appelait en toute impunité au meurtre des oppo­sants à la dénaturation du mariage sur son site (« Préparons les planches et les clous »)…

À chacun ses prétextes, quand il s’agit de palper l’argent du contribuable. Celui de SOS Homopho­bie, pour toucher des subventions, est la lutte contre « l’homophobie ». Moyennant quoi l’associa­tion fait de la propagande en faveur du « mariage » homosexuel jusque dans les écoles de la Répu­blique.

On vous prévient tout de suite, « les ressources de l’association sont toutes celles qui ne sont pas interdites par les lois et règlements en vigueur » (art. 4 de ses statuts).

L’association a d’abord touché 6 100 € de la Ville de Paris (dès 2002), puis 10 000 € chaque année, à partir de 2006.

C’est sans compter les subventions exceptionnelles, comme celle de 2000 € votée les 11 et 12 décembre 2012 pour le projet « Interventions dans les établissements parisiens », alors même que SOS Homophobie a perdu l’agrément du ministère de l’Education nationale pour intervenir dans les collèges et les lycées, suite à une décision du 23 novembre du tribunal administratif de Paris, saisi par la Confédération nationale des associations familiales catholiques.

En attendant, au cours de l’année scolaire 2011-2012, SOS Homophobie est passée dans 533 classes…

Le contribuable est vraiment généreux ! Prétendre lutter contre l’homophobie ouvre des enveloppes : c’est peut-être pour cela que l’Asso­ciation Réseau d’Assistance aux Victimes d’Agressions et de Discriminations a décidé d’« [orienter] son travail sur les victimes d’homophobie », ce qui lui a permis de toucher 7 000 € de subventions de la Ville de Paris en 2011.

Caroline Fourest subventionnée

Un petit joueur à côté de Prochoix, « la revue pour le droit de choisir », une publication pro-maria­ge gay (entre autres…) co-fondée par Caroline Fourest qui ne paraît pas depuis novembre 2011 et dont le blog n’a publié que dix billets en un an. Pour tout ce travail, elle a reçu en mars 2012 la ba­gatelle de 12 000 € d’argent municipal, comme chaque année…

Le Paris Foot Gay fait encore mieux : il voit ses subventions issues de la Ville de Paris passer de 30 000 € (votés en 2011) à 40000 € (2012).

Aides de la Ville de Paris pour un festival interdit aux hommes

Le Sidaction (295 000 €), le Centre Lesbien, Gay, Bi et Trans de Paris et d’Ile-de-France (112 000 €), le syndicat national des entreprises gaies (13 000 €), Contact Paris Ile-de-France (12 500 €), Les Elus Locaux Contre le Sida : Ensemble Luttons Contre le Sida (12 000 €), le « festival du film gay, lesbien, bi, trans & ++++» (sic) 23 000 €, le festival du film lesbien Cineffable dont l’entrée est in­terdite aux hommes (4 000 €).

Retrouvez la suite de l’article  http://www.lecri.fr

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