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«Guillaume Bottazzi peint un tableau gargantuesque qui nous rend plus heureux »

« Un tableau gigantesque de Guillaume Bottazzi pour accueillir les Jeux Olympiques »

Bientôt prêt à recevoir les Jeux Olympiques à Paris La Défense où il ne manque plus que la touche finale et c’est une touche de couleur que le peintre Guillaume Bottazzi vient de finaliser à temps. Ce tableau poétique gargantuesque est visible depuis l’Arche de La Défense et jouxte le stade Paris La Défense Arena qui accueillera très prochainement les compétitions de natation des Jeux Olympiques 2024. Ce tableau prolonge la sculpture de Richard Serra, décédé depuis peu, une confrontation étrange, chacune de ces deux œuvres aspirant à des univers singuliers.

Le peintre, pionnier de la neuro-esthétique, nous dope avec son polyptique de 144m² en agissant chimiquement sur le public. Il contribue à nous rendre plus forts et plus heureux avec des courbes et des couleurs enjouées. Ce tableau devrait contribuer à nous mettre dans de bonnes dispositions. C’est un peu comme si vous preniez un médicament ou buviez une potion magique qui créent des effets sur votre système biologique après l’avoir regardé. 

Guillaume Bottazzi a réalisé plus d’une centaine d’œuvres dans des espaces publics, en Asie et en Europe notamment et il vient de peindre ce polyptyque. C’est une vraie performance physique. A force de porter des pots de peinture pour réaliser ses travaux titanesques, l’artiste s’est sévèrement cassé le dos de manière irrémédiable mais le peintre est heureux de participer à accueillir les visiteurs de cet évènement mondial. 

2.      Faire le plein et se doper à l’art

Pour le plaisir des yeux, le public est invité à venir prendre ce bain de jouvence, il est maintenant de notoriété publique que les tableaux de Guillaume Bottazzi ont le pouvoir d’agir comme un médicament. La science prouve que ce polyptyque permet de prendre de la force en produisant chez l’observateur des effets chimiques. 
Ce polyptyque dopaminé a le pouvoir d’agir comme un cachet, il rend plus heureux et plus fort. Il renforce notre capacité à vivre et à survivre dans les moments difficiles. Il produit de la dopamine, des neurotransmetteurs qui nous envoient des récompenses, appelés communément « hormone du plaisir immédiat ». Ce tableau produit aussi de la sérotonine, appelée communément « hormone du bonheur ». C’est une substance que l’on trouve dans les antidépresseurs et qui favorise la plasticité du cerveau d’après des chercheurs de l’université de Genève (UNIGE). Il aide à lutter contre la dépression et réduit le sentiment de solitude. Il aide à prendre du recul sur le monde qui nous entoure. Il diminue notre anxiété et contribue à rendre plus élégant. Il rend plus sociable et contribue à faire le plein. Il permet de se doper à l’art un peu comme si vous consommiez de l’opium.

3.  Le parcours artistique de Paris La Défense, le plus grand musée à ciel ouvert de France

Ce polyptyque de 144 m² intègre le parcours artistique de Paris La Défense, le plus grand parcours artistique à ciel ouvert de France. Les plus grands artistes ont marqué le quartier d’affaires comme Alexander Calder, Richard Serra, Takis, Daniel Buren, Joan Miró et César. Le polyptyque de Guillaume Bottazzi est pérenne et restera après les Jeux Olympiques. Il est la propriété de Paris La Défense et est visible de tous.

4. Une performance physique

Ayant réalisé, depuis plus de trente ans, plus de cent œuvres d’art dans des espaces publics, comme la plus grande peinture du Japon pour le Musée d’Art Miyanomori, et à force de porter des pots de peinture pour réaliser ses tableaux titanesques, le peintre s’est cassé le dos. Plus exactement ses nerfs sont compressés par ses os et ce, depuis des années. Il vit avec de sévères hernies discales qui ne l’ont jamais quittées. Le peintre est parfois contraint à rester allongé sans bouger. Cependant le peintre réitère avec ce tableau de 144m² à Paris La Défense. Il utilise de fins pinceaux afin de réaliser des glacis  à l’aide de fines couches transparentes sur un complexe rajouté et encadré. 

5.  Au sujet de l’artiste Guillaume Bottazzi

Guillaume Bottazzi est un artiste visuel français, né en 1971, qui a installé son atelier depuis 2012 à Bruxelles. Il exerce son activité depuis plus de 30 ans, notamment en Europe, en Asie et aux Etats-Unis. Reconnu comme un pionnier du mouvement de la neuroesthétique, il a signé plus de 100 œuvres d’art dans des espaces publics. Il reçoit des commandes privées et publiques de musées comme le Musée d’Art Mori, le Musée d’Art International Miyanomori, le Musée d’Art Suntory, le Centre National d’Art de Tokyo ou la Fondation Tokyo Metropolitan d’Histoire et de Culture ; de ministères, comme le ministère de la Culture, le ministère de l’Education nationale ou le ministère de la Santé. A 17 ans, Guillaume Bottazzi décide de devenir artiste et d’en faire son unique activité, qu’il exerce depuis 1990. C’est à partir de 1992 qu’il réalise des œuvres sur sites spécifiques qui connaissent un grand succès. Ses œuvres d’art environnementales, à l’intérieur comme à l’extérieur, relèvent d’une réflexion globale intégrant différents paramètres, notamment contextuels. A ce jour, l’artiste a reçu commande de plus d’une centaine d’œuvres dans des espaces publics. 

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