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« Fermer les frontières, c’est renoncer à 200 000 emplois transfrontaliers puisque si on ferme les frontières, les travailleurs transfrontaliers ne pourront plus se rendre sur leur lieu de travail. Avant de dire n’importe quoi, il faut réfléchir aux conséquences. »

A la rencontre des entrepreneurs de la Saône-et-Loire, Nathalie Griesbeck a dévoilé une partie de ses propositions économiques

« Fermer les frontières, c’est renoncer à 200 000 emplois transfrontaliers puisque si on ferme les frontières, les travailleurs transfrontaliers ne pourront plus se rendre sur leur lieu de travail. Avant de dire n’importe quoi, il faut réfléchir aux conséquences. »

Après avoir rencontré cette après-midi les adhérents de la Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises (CGPME) de la Saône-et-Loire en présence de leur président, Gilles Penet, la tête de liste UDI-MoDem pour la circonscription Est, Nathalie Griesbeck, s’est rendu à Mâcon pour échanger avec les représentants de la Jeune Chambre Economique du Mâconnais Val-de-Saône. A cette occasion, Nathalie Griesbeck a présenté ses propositions économiques pour une Europe qui protège et qui crée.

Refusant tout fatalisme, Nathalie Griesbeck récuse l’idée que l’industrie dans la région se conjugue au passé. « L’Europe doit porter de grands projets industriels avec des savoir-faire historiques, des femmes et des hommes passionnés et des entrepreneurs innovants, et nous n’en manquons pas dans cette région » a déclaré Nathalie Griesbeck, devant les hommes et les femmes de ce territoire qui, au quotidien, créent de l’emploi. Nathalie Grisbeck a notamment souligné qu’à l’instar de la France, l’Allemagne dispose d’un important tissu de PME qui exporte et crée des emplois.

Nathalie Griesbeck regrette que la proposition de créer un contrat européen d’apprentissage pour les jeunes afin qu’ils puissent compléter leurs formations chez les voisins allemands, belges et luxembourgeois n’aient pas été porté par Nadine Morano alors qu’elle était Ministre déléguée de Nicolas Sarkozy en charge de l’apprentissage.

Enfin, Nathalie Griesbeck dénonce les propositions démagogiques de Florian Philippot, candidat du Front National, qui s’était réjoui de la  votation suisse visant à limiter la libre-circulation des personnes avec l’Union Européenne : « Fermer les frontières, c’est renoncer à 200 000 emplois transfrontaliers puisque si on ferme les frontières, les travailleurs transfrontaliers ne pourront plus se rendre sur leur lieu de travail. Avant de dire n’importe quoi, il faut réfléchir aux conséquences. » a déclaré Nathalie Griesbeck.

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