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Christine SINGER : « J’apporte mon soutien à François Fillon »


Dans cette histoire, il apparait désormais évident que l’on cherche avant tout à stopper la dynamique de la campagne d’un homme qui dérange par sa vision et sa volonté de réformer nos institutions en profondeur pour mettre fin à 40 années d’immobilisme et de déficits publics.

Tout est fait désormais pour lui nuire alors que sa droiture n’a jamais été remise en cause en 30 ans de vie politique.
Il a d’ailleurs, à multiples reprises, démontré sa capacité à agir en homme d’Etat et sa volonté de redonner de la liberté aux Français, celle de créer de la richesse, et de vivre de leur travail.
Si je vois derrière cette manipulation les petites mains de ceux qui ne souhaitent surtout pas que cela change, je vois aussi l’opportunité de réformer ce qui concourt à l’engagement personnel en politique pour mettre fin aux pratiques ambigües du milieu politique, conséquences directes d’une absence de statut de l’élu et de la professionnalisation de la vie politique.
En Moselle, comme ailleurs, nous devons acter le principe, comme au Parlement Européen, de ne plus autoriser l’embauche de membres de sa famille.
Christine SINGER
Présidente du PLD Grand Est
Conseillère Municipale PLD
Groupe « Rassemblement Pour Metz »
Conseillère Communautaire – Metz Métropole

Comments

  • Sonja
    février 3, 2017

    L’HONNEUR D’UN HOMME
    De l’usage des mots exacts dépend la vérité de nos pensées et de nos actions ; notre langue française est assez riche en vocabulaire pour user justement de celui qui fera la différence entre le langage ordinaire, l’expression choisie et la volonté de transmettre la finalité du message que l’on veut communiquer,
    aussi, L’HONNEUR D’UN HOMME
    ne saurait en aucune manière être « ce qui reste quand on a tout perdu » lorsque ceux qui vous entourent trahissent les valeurs fondamentales auxquelles les ont attachés leurs aïeux ; l’honneur n’est pas la seule vertu de motivation pour les actions de celui qui agit dans la longue tradition de l’aristocratie.
    L’honneur ne saurait être atteint par les menées très ordinaires d’hommes peu scrupuleux et désireux seulement de posséder un titre ou un poste leur permettant de satisfaire le mauvais orgueil qui les conduira à distribuer prébendes et privilèges à leur unique avantage.
    Honneur et respect sont frères, leur manque est la base de tous les abus.
    Le véritable honneur porte à leur point le plus haut les qualités et les défauts qui font l’humanité.
    Mais il est en voie de disparition lorsqu’il s’attache uniquement à produire de « l’homo economicus » qui n’agit qu’en fonction de son propre intérêt dévalorisant car il s’achète par l’argent, la récompense et ne produit aucune dignité permettant à l’homme de s’élever au-dessus du commun des individus
    C’est la fierté en effet qui peut être touchée, la fierté : ce sentiment aigu de dignité morale dont sont dotés ceux qui ne trahissent pas leurs serments de courage et de respect de soi-même et des autres sans jamais prendre en considération une carrière, un avantage ou un avancement. La fierté c’est exactement savoir ce que l’on vaut.
    Cette considération est aussi attachée à la vertu et au mérite, on en prend pleinement conscience quand on expérimente dans son esprit, son âme et sa chair les abus transgressifs de cette valeur morale essentielle pour la société.
    Loin des morales closes où les hommes s’avachissent et renient leurs idéaux, l’homme d’honneur choisit librement l’épanouissement de soi et ce choix n’est pas sans sacrifice, suivi qu’il est par un cortège jaloux dénonçant ses oeuvres et ses actes comme des fautes. L’homme qui produit quelque chose de valable y met toute son énergie, il est entièrement voué au résultat qui est son véritable but.
    Ainsi l’honneur et la fierté existent pour signaler au groupe l’inauthenticité des valeurs auxquelles la masse obéit et proposent une direction souvent contrariée par la rivalité et la méfiance de ceux qui prétendent l’aider dans son action mais qui usent de forfaiture pour se rendre maîtres indûment -et seulement- d’un pouvoir hors de leur portée défaillante et qu’ils croient pouvoir « honorer ».
    L’honneur d’un homme implique la négation de l’orgueil personnel, de la jalousie mesquine, de l’envie, du dépit de voir un autre réussir, l’honneur d’un homme c’est l’épanouissement de l’esprit d’équipe par la participation de chacun à l’oeuvre collective « en regardant ensemble dans la même direction » comme l’écrivait Saint-Exupéry.
    Alors, en conclusion, parce qu’être un homme c’est précisément être responsable, il est bon de considérer que face à l’adversité des médiocres et en attendant de voir les résultats de leurs oeuvres propres « seul le silence est grand… tout le reste est faiblesse » !

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