Cloud, webstorage, soft, agil… sont sans doute les termes, les anglicismes ou les mots non traduits de l’anglais les plus utilisés, quand les portes s’ouvrent dans le monde de l’informatique.
Très régulièrement, à rythme chronophage, des réunions qui prêtent à sourire, toujours et toujours de nouveaux mots, de nouvelles notions, de nouveaux défis et challenges. Pourquoi ne pas introduire de nouvelles conceptions, le jour où l’informatique fonctionnera convenablement.
Combien de fois avez vous été appelé par la même société, pour vous vendre la même chose que vous ne voulez pas ? Un poil agacé, le commercial finit par vous dire “on m’a donné cette DATABASE ce n’est pas de ma faute, c’est notre informatique”.
Avez vous déjà cherché à joindre votre conseiller bancaire, votre assureur pour entendre “excusez nous nous avons un ralentissement informative”. Quelques jours plus tard, après avoir négocié avec Bombay, Pékin, Dakar ou Tunis les affaires repartent… Le “Coût” maître mot ou “traître mot” de l’informatique. Les sociétés en général n’ont pas réellement de motivation à ce que les trains arrivent à l’heure. Préférez-vous avoir trois costumes bas de gamme ou un vrai costume de luxe, durable, inusable ? Telle est la question que tous devront se poser.
Qui a encore le courage d’appeler de gros groupes pour se sentir traité comme un numéro que l’on ne trouve même plus. Il était une fois un petit conglomérat de très grandes sociétés qui disaient oui à tout, à l’image de parents qui semblent vouloir la paix avec leurs enfants trop gâtés. Ces promesses ne seront jamais concrétisées, autrement dit le commanditaire d’une application ou d’un redressement de projet agit de la même façon. Il répète continuellement le même schéma. Il pense avec une bulle au dessus de la tête comme dans les bandes dessinées “ils sont nuls, mais c’est une grosse boîte, on verra bien”. Le jour où le Président, le Directeur général, le Secrétaire général, le Directeur des services informatiques en auront marre de multiplier les rendez vous inutiles, les réunions interminables sur une informatique, qui finit par avoir vocation à ne pas marcher car elle semble extrêmement bien programmée et travaillée précisément pour n’aboutir qu à la refaire sans fin. Du scotch sous la semelle du capitaine Haddock au mythe de Sisyphe, personne ne s’en sort (il n’y a pourtant pas de fatalité pour les audacieux), alors nous avons voulu vous dire qu au rendez vous de la vérité, pour une informatique structurée intelligente et durable reposant sur le structuraliste, adressez vous à la société MTB.SA (site internet)
Romain Hostine
Anonyme
4.5