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Environnement et Santé, un nouveau regard, une approche holistique avec Guillaume Bottazzi 

« Un nouveau médicament qui modifie notre condition de vie avec la neuro-esthétique de l’artiste Guillaume Bottazzi »

Repenser notre environnement, c’est modifier notre métabolisme. L’artiste Guillaume Bottazzi est reconnu comme un pionnier de la neuro-esthétique et cette approche relève à la fois du réductionnisme et d’une approche holistique. Elle apporte un nouveau regard sur notre environnement afin de modifier notre métabolisme. L’artiste crée des œuvres d’art qui améliorent notre santé mentale et, plus largement, qui diminuent les tensions sociales. La neuro-esthétique est une branche de la neurobiologie initiée par le neurobiologiste Semi Zeki en 1995, qui consiste à observer les flux dans notre cerveau confronté à des expériences sensorielles. C’est en 2019 que l’Organisation Mondiale de la Santé, après l’étude de 900 publications, a confirmé que l’art peut aider à améliorer notre santé mentale, physique, comportementale et sociale.

D’après l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), une personne sur cinq a souffert ou souffrira d’une dépression au cours de sa vie et malheureusement prend ou prendra des anti-anxiolytiques. Nous devrions avoir une approche plus globalisante concernant les difficultés que nous rencontrons au cours de notre vie parce que l’humain est un être très poreux.  Nous devrions améliorer les ingrédients qui se trouvent autour de nous, et croyez-le ou pas, mais notre environnement a la faculté de modifier notre métabolisme et il est souvent la cause de nos troubles.


Comment améliorer notre santé mentale ? 

C’est avec plus d’une centaine d’œuvres pérennes dans des espaces publics que l’artiste Guillaume Bottazzi intervient dans notre quotidien et cette profusion de commandes que reçoit l’artiste manifeste une nouvelle phase de notre société. Il est devenu prioritaire d’améliorer notre environnement si nous voulons améliorer notre vie. Guillaume Bottazzi introduit la neurobiologie dans nos espaces de vie afin de réaliser des œuvres qui facilitent notre bonheur de vivre.

Ses œuvres ont d’ailleurs fait l’objet d’études et notamment de la part de deux neuroscientifiques, Helmut Leder et Marcos Nadal, de l’Université de Vienne en Autriche, qui, après dix ans de recherche sur le cerveau et l’art, ont prouvé que les œuvres d’art de Guillaume Bottazzi nous rendent plus heureux. Elles produisent de la dopamine, du plaisir, elles réduisent notre anxiété et produisent de la sérotonine. Contre toute attente, tenir compte des mécanismes du cerveau afin de proposer des expériences esthétiques semble aujourd’hui parmi les plus sérieuses pistes et des plus adaptées afin d’améliorer notre santé mentale et de diminuer les tensions sociales.

Pour améliorer votre santé mentale, il suffit de vivre avec une œuvre qui vous fait du bien et cela vous aidera au quotidien.

2. Comment rendre nos sociétés plus propices à vivre ensemble ?

Et si la présence de l’art dans notre environnement pouvait diminuer les tensions sociales et réduire la violence ? Et si la présence de l’art dans notre environnement pouvait contribuer à lutter contre les incivilités et rendait les gens plus élégants, plus vertueux et plus sains ?

Et si la présence de l’art dans notre quotidien pouvait favoriser la cohésion sociale, les échanges et le partage ? Et si la présence de l’art dans notre environnement pouvait favoriser notre fierté d’appartenance à une société et à un territoire ? Et si l’art contribuait à s’approprier les lieux de vie ? Et si l’art contribuait à donner du sens à notre vie ? Si l’art nous aidait à prendre du recul sur les choses ? Si l’art développait notre acuité cognitive, nous rendait plus intelligent en modulant de nouveaux neurones ?  Si l’art pouvait nous rendre plus aimant et plus sociable ? Et si la présence de l’art permettait de lutter contre l’isolement, s’il diminuait notre sentiment de solitude en activant des neurones miroirs qui sont les mêmes que ceux que l’on active quand on regarde une personne que l’on aime vraiment ?

Et si l’art pouvait diminuer les guerres et contribuait à la paix dans le monde ? Et si l’art activait des zones de notre cerveau liées à l’amour et au désir ? En réalité, tous ces vœux sont des faits, une réalité actée et prouvée.

3. Comment améliorer notre santé mentale ?

Et si l’art nous apportait de la joie de vivre et du bonheur ? Et si la présence de l’art participait à la réalisation de soi, à se recentrer, à se reconstruire et à se renouveler ? Et si l’art contribuait à nous mettre dans une bonne énergie au quotidien, nos dopait ? Et si l’art avait le pouvoir de nous mettre de bonne humeur et agissait comme un médicament qui rend plus fort et plus heureux ? Et si l’art activait nos neurotransmetteurs qui produisent du plaisir ? Et s’il renforçait notre capacité à survivre ? Et si la présence de l’art nous mettait dans de bonnes dispositions ? Et si l’art pouvait renforcer notre immunité et agir contre la dépression en produisant chez nous de la sérotonine, une substance que l’on trouve dans les antidépresseurs ? Et si l’art diminuait notre anxiété et notre mal être ? Et si la présence de l’art renforçait notre immunité ? S’il contribuait à aider de nombreuses maladies mentales et physiques ? Vivre avec de l’art nous permet de réfléchir, de penser, de nous réconforter, de favoriser les échanges entre les personnes et d’évoluer avec une œuvre, mais jusqu’à aujourd’hui, notre appréhension dans ce domaine restait intuitive ou dogmatique.

En réalité, tous ces vœux sont des faits, une réalité actée et prouvée. Toujours dans les faits, assez récemment, en 2019, après l’étude de 900 publications, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a confirmé que l’art aide à la santé physique, mentale, comportementale et sociale, rend plus élégant, plus vertueux, etc. Il vous suffit de vivre avec une œuvre qui vous fait du bien et cela vous aidera au quotidien.

4. Des recherches scientifiques qui passent sous les radars auprès du grand public

De nombreuses découvertes ont permis, notamment à l’aide d’observations des phénomènes, en mesurant les champs magnétiques du cerveau grâce à la magnétoencéphalographie ou en utilisant l’imagerie numérique, une IRM fonctionnelle, d’observer les flux dans le cerveau confronté à des expériences esthétiques.

Deux neurobiologistes, Semir Zeki et Ramachandran, ont inventé la neuro-esthétique. Ces chercheurs nous permettent de mieux connaître les effets de l’art sur notre cerveau. Le neuroscientifique Oliver Sacks a fait plus récemment une expérience à l’aide d’un IRM fonctionnel qui montre combien une œuvre d’art peut stimuler notre activité cognitive

quand on apprécie une mélodie. Il est impressionnant de voir combien l’art peut agir sur l’ensemble des circuits neuronaux, mais son expérience montre aussi que l’activité cognitive est très réduite quand nous n’apprécions pas une création.

  – Toutes les œuvres d’art n’ont pas les mêmes effets

Toutes les œuvres d’art n’ont pas les mêmes effets et le neurobiologiste Semir Zeki explique dans l’une de ses études intitulée « La neurobiologie de la beauté », qu’un tableau de Lucian Freud active l’amygdale, une zone du cerveau liée à la peur, alors que les peintures de Jean-Dominique Ingres activent des zones qui sont les même que la reconnaissance du beau, celles aussi liées au sentiment amoureux et au désir. Semir Zeki affirme donc que le beau est désir et amour, et qu’il y a un lien miroir avec le beau. Quand les gens regardent une personne ou un objet qu’ils désirent, ils utilisent

les mêmes régions que le beau. Il y a donc une zone commune de l’activité localisée dans le cortex orbitofrontal* médian, et ces zones s’activent lorsque vous avez l’expérience du beau ; mais il arrive aussi qu’elles soient actives au moment où une personne regarde des individus qu’elle aime vraiment.

*Le cortex orbitofrontal est une zone cérébrale qui se trouve à l’avant du cerveau, en dessous du cortex préfrontal et au-dessus des orbites. Le cortex orbitofrontal joue un rôle dans la prise de décision et la motivation. Il est impliqué dans le système de récompense et dans la régulation des réactions émotionnelles.

4. Actualités : des réalisations récentes et à venir de Guillaume Bottazzi

Le peintre a réalisé plus de cent œuvres dans des espaces publics dont la dernière dans le cadre des Jeux Olympiques, en face de la Grande Arche, à Paris La Défense, boulevard de La Défense, à côté du stadium Paris La Défense Arena. Ce polyptyque de 144 m² intègre le parcours artistique de Paris La Défense, le plus grand parcours artistique à ciel ouvert de France. Les plus grands artistes ont marqué le quartier d’affaires comme Alexander Calder, Richard Serra, Takis, Daniel Buren, Joan Miró et César.

D’autre part, en janvier 2025, visible de la rue et pour le plaisir des passants, Guillaume Bottazzi installe trois œuvres émaillées en camaïeu bleu indigo, bleu canard et bleu turquoise. Elles mesurent trois mètres de haut chacune et se trouveront au 59 avenue du Bac à Saint-Maur-des-Fossés (94210), dans le Grand Paris. Indépendamment d’illuminer et d’animer la rue, elles ont la vocation de souligner la hauteur d’une entrée cathédrale sur un immeuble à la facture Art Déco. Elles adoucissent l’espace et apaisent en diminuant le rythme cardiaque du regardeur.

En février 2025, seront inaugurées deux œuvres composées d’émaux à Meudon, dans le Grand Paris.

En mars 2025, l’artiste installera une sculpture de deux mètres sur une coulée verte près de Lille à Bondues, dans les Hauts-de-France.

Au printemps, c’est à Anvers en Belgique que l’artiste réalise une peinture à la chaux en extérieur, pour une architecture qui est la réplique de la villa impériale de Katsura, construite au XVIIe siècle pour la famille impériale du Japon.

Au second trimestre 2025, vingt-deux œuvres rétroéclairées seront installées à Neuilly, avenue Peretti.

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