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  Fin du XIXe Sommet de la de la Francophonie   

À l’issue du XIXe Sommet de la Francophonie, la Secrétaire générale de la Francophonie a salué
le succès de l’événement et a remercié chaleureusement la France, pays hôte.

Trois enjeux majeurs ont marqué ce sommet :

  • La jeunesse francophone et l’emploi : Le thème du sommet, « Créer, innover et
    entreprendre en français », a placé la question de l’emploi des jeunes au centre des
    discussions, avec la volonté de créer des solutions concrètes tant au sein de l’OIF que
    dans les États membres pour offrir à la jeunesse des opportunités d’insertion
    professionnelle en langue française

Nouvelles adhésions et changement de statut : Plusieurs États et gouvernements
ont soumis des demandes d’adhésion ou de modification de leur statut à l’occasion de
ce Sommet. Parmi les nouveaux observateurs figurent l’Angola, le Chili, la NouvelleÉcosse (Canada), la Polynésie française (France) et la Sarre. De plus, des pays
comme Chypre et le Ghana ont vu leur statut évoluer pour devenir membres de plein
droit, témoignant de l’attractivité croissante de l’OIF

Multilatéralisme et gestion des crises : Dans un contexte de fragilité du
multilatéralisme, le sommet a été l’occasion de réfléchir à la plus-value de l’OIF dans
la gestion des crises qui touchent l’espace francophone. Les travaux ont abouti à
l’adoption de trois textes majeurs, notamment la Déclaration du Sommet, la
Déclaration de solidarité avec le Liban, et la Résolution sur les crises dans
l’espace francophone.

Ces décisions témoignent du rôle crucial de l’OIF dans la construction d’une Francophonie
solidaire, innovante et engagée.

Liens des documents adoptés :

L’OIF compte 88 États et gouvernements : 54 membres, 7 membres associés et 27 observateurs.
Pour plus de renseignements sur la Francophonie : www.francophonie.org
Pour plus de renseignements sur le Sommet : https://francophonie2024.gouv.fr/

Comments

  • Jean Pellaton
    octobre 8, 2024

    Bonjour mesdames et messieurs,
    Je suis francophone j’habite à Genève.
    Lorsque que je regarde la télévision Française je suis fortement déçu par les médias de ces chaînes dite francophones, par le manque de respect de cette belle langue qui est la nôtre.
    Pourquoi le pouvoir politique n’exige pas aux journalistes et présentateurs d’éviter dans la mesure ce franglais qui m’horripile profondément.
    Quelle langages utiliseront nos enfants…
    L’ex ministre Jacques Toubon avait fait ceci
    Premier ministre à réunir la francophonie, vouée traditionnellement au ministère aux Affaires étrangères, au ministère de la Culture, il propose, pour lutter contre le franglais, une liste complète de mots à utiliser à la place des mots anglais. Cette tentative n’est pas toujours couronnée de succès. Sa proposition est même l’objet de moqueries en son temps et la loi Toubon (loi no 94-665) pour la promotion de la francophonie est ironiquement surnommée « loi AllGood »13. De plus, la loi no 94-88 du 1er février 1994 impose aux radios « qu’au moins 40 % de la totalité des chansons diffusées mensuellement entre 6 h 30 et 22 h 30 soient des chansons d’expression française ».
    Voilà le fond de mes ressentis.
    Recevez Mesdames et Messieurs mes salutatIons distinguées.
    Jean Pellaton

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