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Gestion de la crise sanitaire : « un chef ça ne se défausse pas sur ses subordonnés. » Edouard Philippe

Sur le plateau des « 4 Vérités » de France 2, mercredi 2 novembre, l’ancien Premier ministre d’Emmanuel Macron, Édouard Philippe, est revenu sur son placement sous le statut de témoin assisté par la Cour de justice de la République pour mise en danger de la vie d’autrui et abstention volontaire de combattre un sinistre dans le cadre de sa gestion de la crise sanitaire liée au Covid-19. « Mon objectif c’est que tous ceux qui étaient placés sous mon autorité […] soient blanchis des accusations qui sont portées contre eux », a déclaré Édouard Philippe.

Évoquant le cas d’Agnès Buzyn, l’ex-Premier ministre a estimé que la situation était « très injuste » pour elle, affirmant que l’ancienne ministre de la Santé avait « pris très au sérieux cette crise, dès le début ». Édouard Philippe a assuré qu’Agnès Buzyn avait aujourd’hui tout son soutien. « J’étais le chef du gouvernement et j’assume toutes les responsabilités prises par l’ensemble des membres de mon gouvernement », a-t-il encore déclaré, avant d’insister : « C’est ça être un chef : un chef ça ne se défausse pas sur ses subordonnés. Jamais.

« Il me faisait confiance, il n’a rien négligé », a ainsi estimé l’ancienne ministre de la Santé. Avant de préciser toutefois : « Ça ne voulait pas dire qu’il croyait à mes scénarios, à mes angoisses. » Invité ce mercredi matin sur France 2, Edouard Philippe s’est positionné en défenseur d’Agnès Buzyn, estimant son sort « injuste». « Je lui ai toujours exprimé mon soutien, et je le ferai toujours », a affirmé l’ex-premier ministre.

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