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Le Président du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux, Marc Cools, a fait aujourd’hui la déclaration suivante :

« Je partage la profonde préoccupation exprimée par le Secrétaire Général du Conseil de l’Europe concernant le projet de loi sur la « transparence de l’influence étrangère », adopté par le Parlement géorgien en troisième lecture, et son impact sur la démocratie et le respect des droits de l’homme en Géorgie. Une société civile libre et dynamique est une composante essentielle de la démocratie à tous les niveaux. Le Congrès poursuivra son travail en Géorgie pour renforcer la démocratie locale et les droits de l’homme ».