LES ELECTIONS EUROPEENNES:FACE AUX POLITIQUES DE CARRIERE ET AUX POPULISTES,IL EST TEMPS DE REDONNER LA PAROLE AUX CITOYENS
Les élections européennes : un scrutin à haut risque où défiance des partis traditionnels ne doit pas se conjuguer avec montée des extrêmes.
Les résultats des élections municipales ont permis l’affirmation d’un mouvement de fond : l’abstention ! Les Français sanctionnent le manque de résultats du gouvernement et envoient un signal sur l’érosion des partis traditionnels républicains. Si la montée du parti d’extrême droite n’est pas une bonne nouvelle pour notre pays, elle montre surtout la défiance grandissante des citoyens pour les représentants des partis traditionnels, symboles de la l’hyper professionnalisation de la vie politique. La France a besoin de renouveau dans le paysage politique. Pour sauver leur poste ou leur avenir politique certains n’hésitent pas à reprendre les thématiques des extrêmes et à pointer des boucs émissaires pour se désengager de leur responsabilité : l’euro, l’Union européenne, l’Allemagne, les pays émergents, les riches, les étrangers en France, etc.
Pour Denis Payre, Président de Nous Citoyens : « Le basculement de nombreuses villes ne prouve pas une adhésion à la droite mais surtout un rejet de la gauche, de même que le vote de 2012 était davantage un rejet de Nicolas Sarkozy qu’une adhésion à François Hollande. »
Nous Citoyens décide de présenter des candidats crédibles pour les élections européennes. Ce ne sont pas des professionnels de la politique. Ils doivent cette crédibilité à leur parcours personnel : ils connaissent parfaitement les questions économiques et sociales, ils connaissent l’Europe. Ils parlent souvent plusieurs langues étrangères. Ils s’engagent à se consacrer totalement à leur mandat de député Européen si ils sont élus. Il ne s’en serviront pas de mandat alimentaire accessoire. Ils serviront et défendront totalement les intérêts de la France au sein des institutions Européennes.
Patrice Obert, fonctionnaire, est auteur de deux ouvrages sur l’Union européenne dont « Un projet pour l’Europe » (Editions de l’Harmattan juin 2013)
Ile-de-France : Tête de liste, Isabelle Bordry est entrepreneur dans le digital et porte-parole du mouvement Nous Citoyens
Bernard Chenevez est aujourd’hui secrétaire général des semaines sociales. Ancien fonctionnaire, il a lié sa carrière professionnelle à la construction européenne et a notamment vécu à Budapest et à Berlin.
Nord-Ouest : Tête de liste, André-Paul Leclercq est responsable du développement d’un groupe de grande distribution. André-Paul a mené une carrière internationale et européenne. Installé à Varsovie pendant plusieurs années, il parle couramment anglais et un peu polonais.
Anne Marie-Gossellin, seconde de liste, a mené ses études en Autriche. Chargée de mission dans l’aide au développement de pays du tiers-monde pendant neuf ans puis consultante en restructuration d’entreprise elle est désormais traductrice freelance, épouse d’un agriculteur.
Sud-Est : Tête de liste, Bertrand Lescure est chef d’une entreprise industrielle à Lyon et membre fondateur de la Fondation Emergences.
Blandine de Suremain exerce son goût d’entreprendre dans les milieux associatifs marseillais.
Ouest. Tête de liste, Véronique Richez-Lerouge est attachée de presse. Depuis plus de 10 ans, elle se bat pour le terroir français et la richesse agricole de nos territoires. Elle préside l’association Fromages de terroir et est l’auteure de « France, ton fromage fout le camp ! » (Éditions Michel Lafon 2012)
Sud-Ouest. Tête de liste, Philippe Marty vient de quitter ses fonctions dans une entreprise multinationale dans laquelle il était chargé des affaires publiques pour l’Europe.
Est : Tête de liste. Xavier Dessaigne, est créateur fondateur de medias print et digitaux dans la région de Colmar.
Marie-Thérèse Barthelmé, viticultrice et responsable export (Domaine Albert Mann). Elle est membre de Femmes leaders mondiales Alsace
Les candidats s’engagent à respecter les exigences de la charte Nous Citoyens :
- Se consacrer exclusivement à leur mandat
- Servir la France et l’Europe et non pas se servir
- Ne pas réaliser plus de 2 mandats de suite
- Rendre compte de leurs travaux
Une campagne citoyenne avec un projet pour réinventer l’Union européenne.
Suite à son lancement, Nous Citoyens a été sollicité par de nombreux réseaux et associations qui partagent nos valeurs, mais surtout qui voient en Nous Citoyens la seule force politique crédible pour proposer une alternative aux partis traditionnels et aux extrêmes. Mouvement ouvert, nous avons donc accueilli un certain nombre de personnes nouvelles dans notre processus. Parmi ces contributeurs qui rejoignent notre dynamique, les Européens Solidaires, un mouvement complémentaire à notre démarche : http://www.
Ils fédèrent des Français souvent engagés concrètement sur des problématiques sociales et pensent, comme Nous Citoyens, que les projets de société du gouvernement ne sont pas la priorité et divisent les Français à un moment où il faut les réunir autour d’un projet commun de réforme du pays pour traiter en particulier la grave crise sociale que nous connaissons. Certains sont issus du mouvement des Poissons roses, mouvement situé à gauche de l’échiquier politique, et partagent la conviction que les entrepreneurs créent les emplois de demain. Nous Citoyens est plus que jamais un mouvement transpartisan.
L’Europe est notre destin commun. Ce projet unique au monde a permis la paix et la prospérité pendant près de 70 ans au sein de notre continent. L’Europe est incontournable car la France ne pourra pas affronter seule les grands défis du 21e siècle. Pour autant le projet européen est au milieu du gué et ne contribue plus assez à la paix et à la prospérité en particulier pour les plus jeunes. Les responsables sont notamment les dirigeants politiques français, en quête de réélection. Ils font de Bruxelles le bouc émissaire de tous nos maux et y envoient trop souvent les recalés de la politique nationale. Les dirigeants politiques français n’ont pas plus de crédibilité à Bruxelles qu’ils n’en ont en France à force de promesses non tenues.
Pour Denis Payre : « L’Europe à sa juste place n’est pas un problème : elle est une solution pour surmonter les crises et tracer un chemin d’avenir. Il faut en priorité finir ce qui a été commencé, pour avoir enfin une Europe qui fonctionne. Nous ne voulons pas plus d’Europe, nous voulons que le travail initié pour mutualiser un certain nombre de politiques soit enfin finalisé.«