L’uniforme à l’école doit-il être obligatoire ?
« L’école n’est pas un lieu comme les autres, ce n’est pas comme si vous allez à la plage ou en boîte de nuit, a argumenté Jean-Michel Blanquer sur RTL. Chacun peut comprendre qu’on vient à l’école habillé d’une façon républicaine ». « Il est important d’arriver à l’école dans une tenue correcte », a martelé le ministre, rappelant que les établissements scolaires ne sont pas « des lieux comme les autres ». « Vous n’allez pas à l’école comme vous allez à la plage ou en boîte de nuit […]. Chacun peut comprendre qu’on vient à l’école habillé d’une façon républicaine », a-t-il ensuite insisté. Le jour-même, interrogé au sujet du mouvement largement suivi au sein des établissements scolaires, Jean-Michel Blanquer a répondu aux élèves qu’il « (suffisait) de s’habiller normalement » et en appelait au « bon sens ». Des propos maintenus une semaine après : « L’école n’est pas un lieu comme les autres, a répété Jean-Michel Blanquer. Vous n’allez pas à l’école comme vous allez à la plage ou en boîte de nuit (…)
Certes, les femmes sont libres, dans les mesures fixées par la loi, de s’habiller comme elles veulent.
Toutefois, les lycéennes et les collégiennes ne sont pas des femmes adultes. Ce sont des mineures, et surtout, elles sont dans un lieu, l’école, dont l’objet n’est pas de leur permettre de mettre en avant leur individualité, mais d’acquérir des savoirs qui les feront grandir. L’école n’est pas un lieu d’expression des libertés mais d’apprentissage de la liberté. C’est différent.
S.R
La blouse en primaire et l’uniforme (qui peut être simple et élégant) en secondaire sont une véritable solution égalitaire pour les enfants et les ados. Les seniors septuagénaires d’aujourd’hui ont connu ça dans leur jeunesse et n’en sont pas morts , bien au contraire car il n’y avait pas de harcèlement de rue machiste et violent sur des filles seules trop dénudées dans la rue, de plus en plus jeunes aujourd’hui. Ce n’est pas question de morale , mais de décence , de courtoisie, de respect d’autrui et de bon sens.
La « liberté » du je fais c e que je veux » a outrance, a bon dos pour faire n’importe quoi
Si ce n’est une conséquence de l’érotisation effrénée de la nouvelle société plus débridée que réfléchie, pourquoi d’ailleurs, ce déchaînement d’exhibitionnisme de plus en plus généralisé et inélégant de surcroit, qui, quoi qu’en disent ceux et celles qui le dénient, émoustille la libido bouillonnante des jeunes de toutes cultures ( les tournantes dans les caves de quartiers en sont la preuve ! ), autant que celle aussi malsaine des vieux à tendance pédophiles, quoiqu’en disent les irresponsables féministes adeptes du sempiternel et absurde » j’ai le droit de tout » ( jusqu’au n’importe quoi, au ridicule et surtout au danger) l