Miramas:Allons-nous retrouver les 200 détonateurs?
Selon Europe1, le site de Miramas compte des « dizaines de bâtiments, isolés les uns des autres par mesure de sécurité » et s’étend sur « 250 hectares, entourés par deux rangées de grillage, sans caméras de vidéosurveillance ». La nuit, poursuit la radio, « ne reste que quelques gardiens et les militaires qui dorment sur place ».
Étant donné le contexte actuel, l’hypothèse d’un vol d’explosifs en vue de commettre des actes terroristes vient immédiatement à l’esprit. Mais il peut s’agir, comme pour l’affaire de Foix, d’un coup du grand banditisme.