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Nigéria: une enfant victime d’un mariage forcé a empoisonné son mari et trois de ses amis

Le désespoir d’une épouse-enfant, forcée à accepter un mariage contre nature, l’a conduite à commettre l’irréparable…

Wasila Umaru, âgée de 14 ans fut mariée de force la semaine dernière à Umaru Sani, un homme de 35 ans. Quand le mari invita une douzaine d’amis pour célébrer le mariage dans son village, près de la ville de Kano, la jeune fille versa de la mort- aux- rats dans un plat de riz. Umaru succomba le jour même, ainsi que deux de ses amis, tandis qu’une autre invitée, une femme, Indo Ibrahim, décéda à l’hôpital.

C’est le destin terrible des épouses-enfants, le lot quotidien de nombreuses fillettes musulmanes, qui a poussé la petite Wasila à commettre son acte de désespoir.

La loi islamique autorise le mariage des petites filles dès l’âge de 8-9 ans, à l’instar du prophète, qui épousa Aisha à l’âge de 6 ans et consomma le mariage dès qu’elle eut neuf ans. Les apologistes islamiques, conscients de l’émoi et de l’horreur suscités en Occident par le « mariage» d’un homme d’âge mur avec une fillette de 6 ans, insistent sur le fait que le prophète consomma le mariage quand Aisha fut post-pubère, et les crédules infidèles sont ainsi rassurés et peuvent retourner dormir la conscience apaisée. Les promoteurs du multiculturalisme, bien silencieux sur cette pédophilie islamique, craignent que la criminalisation des mariages forcés soit perçue comme une discrimination et une attaque injuste. C’est leur tradition religieuse, l’Occident ne doit pas s’en mêler … encore moins la critiquer.

Ainsi, pendant que l’Occident ferme pudiquement les yeux sur ces pratiques barbares, de nombreuses fillettes, de par le monde, musulmanes et non musulmanes, sont victimes de mariages forcés, tradition bien ancrée dans l’islam.

Wasila admit sans difficulté avoir acheté le poison et l’avoir versé dans le plat de riz, car elle fut forcée d’épouser un homme qu’elle n’aimait pas.

L’adolescente a été arrêtée et sera jugée pour meurtre.

Si Wasila avait été tuée par son mari pour non soumission, ou par son père pour avoir refusé le mariage forcé, comme cela arrive très fréquemment, la justice islamique aurait considéré son meurtre comme un crime d’honneur, dès lors justifié, et le tribunal aurait fait preuve de clémence envers ses assassins. Mais comme il s’agit de l’inverse, l’adolescente, l’épouse- enfant- esclave, sera sévèrement jugée et certainement condamnée à la peine capitale. Justice islamique : deux poids, deux mesures.

Le mariage forcé d’enfants est un phénomène banal au Nigéria, notamment dans la région musulmane du Nord, une région très pauvre, et le nombre de ces unions contre nature augmente notamment en période de sécheresse, car vendre une enfant en mariage signifie non seulement une petite rentrée financière, mais également une bouche en moins à nourrir. Cette pratique indigne est également très répandue en Afrique subsaharienne, en Asie du Sud, au Moyen –Orient et en Afrique du Nord.

Ces mariages précoces assurent également la docilité des épouses au sein de leurs nouvelles familles et permettent de maximiser le nombre de grossesses. Peu importe les conséquences pour ces épouses-enfants :

. problèmes de santé très graves, suite à des grossesses prématurées, qui augmentent les taux de mortalité maternelle et infantile ;
. vulnérabilité aux maladies sexuellement transmissibles, notamment le sida ;
. maltraitance et violences au sein de la nouvelle famille.

Les mariages précoces et forcés sont reconnus comme une forme d’esclavage moderne par l’organisation internationale du Travail, une agence de l’ONU, mais rien n’est fait pour lutter contre cette pratique.

Au Nigéria, la Charte des Droits de l’Enfant interdit le mariage avant l’âge de 18 ans. Mais la loi est souvent ignorée en faveur de la loi islamique de la charia, qui domine dans la plupart des Etats du Nord.

A ce jour, personne au Nigéria n’a été poursuivi pour avoir épousé une enfant, même pas le sénateur Sani Ahmed Yerima, malgré sa conduite infâme : il divorça de sa jeune femme de 17 ans, qu’il avait épousé deux ans auparavant, pour s’unir à une adolescente égyptienne de 13 ans, alors qu’il était âgé de 49 ans. Il se justifia en se référant à l’exemple du prophète de l’islam : Mahomet, l’homme « parfait » de la « religion parfaite. »

Mais pour ce faire, il devait divorcer de l’une de ses épouses- enfants, car selon la loi islamique, la polygamie est limitée à 4 femmes. De nombreuses épouses- enfants sont ainsi répudiées, ce qui permet au polygame de renouveler ses esclaves et de se débarrasser d’épouses malades, devenues inutiles.

Selon les défenseurs locaux des droits de l’enfant, ces épouses-enfants répudiées finissent le plus souvent dans la rue abandonnées de tous.

Le mariage forcé, ce crime contre l’humanité, est une autre façon barbare et cruelle de faire progresser l’islam. C’est une « tradition » islamique, qui se répand aussi en Occident, dans les communautés musulmanes, et cette horreur s’abattra sur nos filles, nos petites filles, si nous laissons l’islam s’imposer en Occident.

Or, les grands médias, en Occident, demeurent silencieux sur ces pratiques, par crainte de se faire taxer d’islamophobes. Nos gouvernements, soucieux de protéger leurs intérêts économiques et politiques, ne voient rien, n’entendent rien, à croire que la rectitude politique, face à l’islam, les rend aveugles, sourds et lâches.

En Egypte, de plus en plus de jeunes filles Coptes, souvent âgées de 13-14 ans, sont enlevées, violées, puis forcées à épouser leurs violeurs et à se convertir à l’islam.

Scénario identique au Pakistan, où plus de mille jeunes filles chrétiennes et hindoues sont enlevées chaque année, converties de force à l’islam et contraintes d’épouser un musulman. Ces pratiques ignobles ont été révélées dans un nouveau rapport, paru le 7 avril dernier, rédigé par le Mouvement pour la Solidarité et la Paix (MSP), un regroupement d’ONG, d’associations et … d’organismes dont fait partie la Commission ‘Justice et Paix’ de la Conférence des évêques catholiques du Pakistan.

En Occident, le viol des femmes non musulmanes par les musulmans est l’une des armes de conquête de nos pays et sa progression est fulgurante dans les pays scandinaves et en Grande Bretagne.

L’islam autorise les musulmans à voler, violer, torturer et tuer les Chrétiens, les Juifs, les non musulmans, afin de les convertir à leur idéologie tyrannique en faisant régner la terreur parmi les infidèles. Et les imams radicaux, ces prêcheurs de haine, via leurs discours sur internet et lors de conférences islamiques dans nos universités, financées par les Wahhabites et les Frères musulmans, n’hésitent pas à le rappeler à leurs fidèles.

Rosaly

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