Où va l’argent pour les soins de nos aînés ? Nous voulons savoir.
Le Livre « Les fossoyeurs » de Victor Castanet a permis il y a quelques semaines de mettre en évidence des dysfonctionnements qu’une enquête semble corroborer.
Semble, puisque nous ne pouvons prétendre à en connaître les conclusions, le cabinet de Brigitte Bourguignon, ministre déléguée à l’Autonomie, arguant du secret des affaires, alors que l’Etat porte plainte contre Orpéa et exige le remboursement des sommes publiques perçues.
Le Mouvement de la Ruralité est choqué par cette affaire révélée par un livre ainsi que des salariés de l’institution.
Elle est l’exemple flagrant d’un état, d’une start-up nation qui dépense sans compter et surtout sans contrôle.
Elle est symbolique aussi de la volonté de cacher les problèmes en macronie. Les ehpad, maisons de retraite, privés ou publics perçoivent des aides financières publiques pour s’occuper de nos aînés et que ce rapport ne soit pas rendu public nous interroge sur les conclusions qui y sont notifiées.
Après le scandale Mac Kinsey qui met en évidence le manque de compétences de l’entourage d’Emmanuel Macron, celui de l’argent dilipidé sans aucun contrôle, le tout se jouant en coulisses.
Le Mouvement de la Ruralité demande à Emmanuel Macron, Jean Castex et Brigitte Bourguignon de rendre public ce rapport : les Français ont le droit de savoir où va leur argent.
Le Mouvement de la Ruralité souhaite qu’une enquête sénatoriale sur l’utilisation et la finalité des aides publiques aux structures pour personnes âgées dépendantes et handicapées soit menée.
De plus, Le Mouvement de la Ruralité n’accepte pas le seul engagement juridique de l’Etat sur les aspects financiers en occultant volontairement les aspects de maltraitances humaines et de mise en danger de la vie d’autrui. Si la même affaire survenait sur des établissements gérant des animaux, l’état et ses ministres animalistes auraient déjà saisi la justice et dénoncé une maltraitance animale.
Le Mouvement de la Ruralité très sensible au sort qui est réservé à nos aînés restera très vigilant sur cette affaire car la manière dont sont traités et considérés nos Anciens en dit long sur la philosophie qui a pris place en France.