Portrait : Qui est le colonel Peer de Jong ?
Le colonel Peer de Jong a été le 113e chef de corps du 3e régiment d’infanterie de marine de Vannes (Morbihan) sur la période 1997-1999. C’est lui qui a donné cette identité bretonne forte, en y faisant rentrer la cornemuse et le Gwenn ha du.
Docteur (PhD) en science politique, breveté de l’Ecole supérieure de guerre de Paris et diplômé en management général de l’ESSEC, Peer de Jong a été l’aide de camp des présidents de la République française François Mitterrand et Jacques Chirac. Expert de de l’Asie où il a exercé ses activités pendant de nombreuses années. Il développe au sein de l’Institut Themiis, depuis plus d’une dizaine d’années, des activités de formation au profit des forces de sécurité particulièrement en Afrique. Il est professeur associé à l’Ecole de guerre économique de Paris et à l’Institut Catholique de Paris.
Depuis 2016, il est senior vice-président de la société THEMIIS (www.themiis-institute.com), en charge du développement et également professeur associé à l’école de guerre économique de Paris
Il est l’auteur de deux ouvrages : « Vous n’oublierez rien Colonel » édité chez Tallandier en 2017 et « Agir entre les lignes. Sociétés militaires privées. Wagner, Blackwater, Mozart et les autres » sorti chez Mareuil Editions le 16 mars 2023.
Vincken Silvestri Margareta Andtea
Bonsoir, je voudrais poser une question juridique a m. peer de Jong, je suis de nationalité hollandaise (ma mère m’a transmis la nationalité, je suis née en Belgique. A l’âge de 6 ans j’ai émigré en Suisse pendant plus de 60 ans. A mes 18 ans le consulat des Pays Bas a Genève refuse et menace de me retirer ma nationalité, sous prétexte que je travaillais dans l’administration d’un pays étranger. A cette époque je venais d’être recrutée a la Mission Permanente de Tunisie auprès de l’Office des Nations Unies et des Organisations Internationales a Genève. J’ai travaillé pendant 40 ans a cet endroit. Mon autre contact avec les autorités des Pays Bas a Rome ce sont mal passées, beaucoup de suspicion lorsque j’ai communiqué ma double nationalité, suisse en l’occurrence) Depuis quelques années je vie en Italie.