25 novembre 2021. Face à la montée des incertitudes, le premier semestre 2022 devrait traverser une zonede turbulences
Certes la croissance devrait rester vigoureuse, malgré un ralentissement lié aux confinements danscertains pays, aux perturbations continues dans les chaînes d’approvisionnement, à la
Stéphane Geyres
D’un point de vue libéral, il n’y a qu’une approche en réalité.
Elle nous est rappelée par Bertrand Lemennicier ici :
http://universite-liberte.blogspot.fr/2016/06/brexit-party.html
« La sécession en micro-États comme force de progrès
Cette fragmentation des grands États en micros États est-elle favorable à la croissance et au bien-être des populations ?
« La meilleure chose à faire pour la liberté serait de diviser l’Europe en plein de petits États. Cela vaut également pour l’Allemagne. Plus l’expansion territoriale de l’État est petite, plus il est facile d’émigrer et plus l’État doit se montrer conciliant envers ses citoyens, afin de garder ceux qui sont productifs » nous dit H. H. Hoppe.
A défaut de copropriétés multiples en compétition, la petite taille des États est garante d’une imposition modérée et du respect des droits de propriété comme des droits individuels parce qu’un petit État a beaucoup de concurrents proches et que le vote avec ses pieds est plus facile à mettre en œuvre pour sanctionner les dirigeants prédateurs de cette entité politique. Dans un État central (même fédéral) dominant de vastes territoires, le pouvoir d’imposer des taxes et réglementations est plus facile à mettre en œuvre car le coût d’émigrer est plus élevé. Un petit État ne peut mettre en œuvre une telle politique d’expropriation. Les individus émigrent et, par ailleurs, les entreprises quittent le petit État sans qu’il puisse en attirer de nouvelles, car celles-ci sont toujours à la recherche de la fiscalité la plus faible et des réglementations les moins contraignantes. »