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Richard Roudier s’adresse aux Français depuis son lit de l’hôpital

Rentré au commissariat pour l’affaire du local des migrants, pour une audition libre, je me suis retrouvé en Gav pour la nuit au milieu des zombies et de la crasse. Le lendemain
Au moment où devant le procureur l’affaire se dégonfle et où l’un des griefs est abandonné, l’officier de police chef du dépôt entreprend de mesures vexatoires et discriminatoires à mon égard : refus de médicaments, détournement de nourriture, refus de me laisser uriner. Devant mes protestations il referme la lourde porte barreaudée d’acier sur mes doigts coincés dans le chambranle et me laisse pendant 10 minutes dans une marre de sang et refuse d’appeler les pompiers malgrè les hurlements d’Olivier. De nombreux policiers indignés arrivent et je suis brancardé par les pompers. La juge des libertés qui devait me recevoir descend avec son staff dans la rue, m’entend dans le fourgon des pompiers et me signe ma liberté. Malgré la souffrance je n’ai jamais perdu connaissance. J’ai frôlé l’amputation du majeur. Heureusement aprés 1 heure d’opération je conserverai mon doigt et vous savez où je vais leur mettre:)

Richard Roudier
De mon lit d’hôpital à La Peyronie

Comments

  • Corine Lemuel
    juillet 31, 2017

    Il faut se méfier quand des délinquants gardés à vue prétendent avoir été torturés par la police. C’est souvent un moyen de détourner l’attention de leurs crimes et délits.

    Je reste prudent devant cette « information » (nous n’avons que la version du délinquant Roudier), et j’apporte mon plein soutien à la police.

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