Trouver le lynx du nord-ouest et une partie de l’étude du cycle
Dans son étude sur l’un des plus éloignés des populations de lynx du Nord en Amérique du Nord cet été, Claire Montgomerie a utilisé ses oreilles. Tout en regardant le suivi par satellite un lynx femelle portait, Montgomerie a vu l’animal pendait autour d’une colline au nord du cercle polaire arctique, non loin de Coldfoot.
L’Université de l’Alaska étudiant diplômé Fairbanks soupçonné le lynx aurait mis en pause dans sa déambulation constante pour donner naissance à un repaire de chatons.
Montgomerie a enrôlé quelques aides de sa base dans Wiseman et se dirigea vers l’endroit où elle avait vu des grappes de points de suivi sur son ordinateur. Après environ 45 minutes dans la forêt boréale près de la route de Dalton, elle a obtenu sa pause.
«J’ai entendu ce petit bruit de sifflement », a dit Montgomerie. « Il était très subtil, comme un souffle. »
Elle a approché le murmure félin, passa la tête dans des broussailles et se séparèrent quelques jeunes arbres de bouleau. Là-bas, à la motte d’un peuplier baumier abattu, étaient six chatons de lynx de la taille de balles de fil.
Le travail de Montgomerie fait partie d’une étude des facteurs qui contribuent aux cycles de lièvres de lynx et de raquette. Elle est une université et de l’équipe nationale Park Service de travail de Wiseman. Les chercheurs, y compris Knut Kielland, Maddie McConnell et Donna DiFolco, regardent des lièvres, des lynx et le grand-duc à la lisière nord de la forêt boréale.
Sur le site de tanière, Montgomerie a ramassé chaque petit lynx – moins de deux semaines et encore avec les yeux nuageux qui ne semblaient pas se concentrer sur elle – et pesa. Chaque petit chat était d’environ 600 grammes, à peu près autant de basket-ball, et en forme dans sa paume.
« Ils étaient sans aucun doute un manipulable, » dit-elle.
Elle a frappé une étiquette dans leurs oreilles dans l’espoir d’identifier les chatons nouveau si elle les capturer à l’âge adulte. Puis elle et ses partenaires ont remplacé les chatons et a essayé de faire regarder le site comme avant leur arrivée.
De retour à Wiseman, Mongomerie a ouvert son ordinateur et a regardé le col de suivi par satellite de « Rosie », le lynx mère qui n’a pas été présent au moment où Montgomerie était à la tanière. Rosie, que l’équipe avait pris dans un piège à cage à proximité en Mars, était revenu à ses chatons sur la colline. Son col a montré qu’elle puis transférait, mise en bouche peut-être chacun à l’arrière du cou et les porter à un nouveau site den dans un demi-mile de l’ancien.
L’étude nord du lynx, des lièvres et des hiboux grand-cornes est une tentative de comprendre plus sur les cycles de vie de boom intrigantes et le buste des deux lièvres et le lynx. Environ tous les 10 ans, les lièvres sont assez nombreuses dans les différentes zones de leur habitat forestier. Il est suivi par un accident de la population qui affecte leurs nombreux prédateurs, mais aucun autant que le lynx, dont l’alimentation est presque exclusivement lièvres raquettes à neige.
Montgomerie, un étudiant de maîtrise, visite les réseaux de pièges en direct toute l’année, le travail de la zone Wiseman pour les lièvres (plusieurs grilles de 40 pièges chacun) et le lynx. Elle tente d’estimer la population locale des lièvres, qui sont maintenant faciles à trouver dans la région de Wiseman, mais peut-être encore trois ans à compter de peaking, selon Kielland, professeur UAF.
Elle veut aider les questions à long explorer de réponse par des scientifiques du lac à Tok Kluane et au-delà. Est-ce que les lièvres pic en est de l’Alaska d’abord, puis un peu plus tard dans l’ouest de l’Alaska? Pourquoi le cycle fluctue comme il le fait? Pourquoi ne hausse des chiffres de lièvre, de tomber et de rester bas pendant un certain temps? Et ce qui motive les montagnes russes? Un manque de nourriture lièvre? Prédateurs manger beaucoup des lièvres? Lièvres ne pas avoir soumis à une contrainte autant de bébés?
« Il y a toutes sortes de contributeurs, » dit-elle. « Nous essayons simplement de voir ce qui se passe là-bas. »
