UPR : le parti qui monte malgré le silence des médias
L’UPR prône la sortie de la France de l’UE via l’article 50 du traité sur l’Union européenne (TUE), ainsi que de la zone euro et de l’OTAN. L’accent mis par l’UPR sur l’activation de l’article 50 du TUE le distingue des autres partis, au point qu’une recherche Google à son sujet donne le site de campagne de François Asselineau comme première occurrence lors de la campagne présidentielle de 2017. L’UPR récuse les stratégies de désobéissance aux traités, au nom du respect du droit international.
L’UPR se donne pour objet de « rétablir l’indépendance de la France et la souveraineté du peuple français » et met en cause les transferts de compétence à la Commission européenne — en soulignant que celle-ci n’est pas élue à la Banque centrale européenne et à l’OTAN. François Asselineau présente ainsi son parti comme un « mouvement de libération nationale »; il affirme que le fonctionnement de l’Union européenne n’est pas démocratique, évoquant une évolution du continent vers la « dictature » et comparant les élus français à des « marionnettes ».
La charte fondatrice de l’UPR affirme : « Si elle n’est certes pas la cause unique de tous les problèmes de notre pays, la construction européenne n’en est pas moins leur cause principale ». François Asselineau aborde la plupart des thèmes politiques par le prisme du traité sur l’Union européenne. Le Monde relève qu’il dénonce notamment « l’article 63 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, « qui interdit d’interdire les délocalisations », l’article 42 du traité sur l’Union européenne, « qui explique pourquoi on va risquer une troisième guerre mondiale en Syrie ». Il justifie sa volonté de quitter la zone euro en insistant sur sa mauvaise situation économique et en affirmant que « depuis l’Antiquité, […] toutes les monnaies plurinationales finissent toujours par exploser » ; il énonce également que « le recouvrement de notre souveraineté nous permettra, maîtres de notre destin, d’utiliser les instruments monétaires et douaniers pour doper la compétitivité et relocaliser la production, tout en s’adaptant à la conjoncture ».
François Asselineau est décrit par Le Monde et Europe comme « europhobe », par les journalistes Dominique Albertini, David Doucet et Laurent de Boissieu ainsi que Conspiracy Watch comme « ultrasouverainiste » en raison de leur projet de « sortir de la construction européenne, et pas seulement de l’Union européenne ». D’après Sputnik, Jacques Sapir « pointe du doigt le manque de crédibilité du programme de l’UPR, soulignant qu’il ne propose aucune solution de rechange pour remplacer l’Union européenne ». François Asselineau récuse le terme d’eurosceptique, préférant celui d’ « euro-athée ». L’UPR récuse aussi le qualificatif de souverainiste, considérant que ses engagements sont distincts de ceux des autres partis classés comme tels, et se présente comme « antieuropéen et anti-atlantiste ». Au contraire, le politologue Pascal Perrineau inclut l’UPR au sein des « partis souverainistes », avec Debout la France et le Mouvement pour la France, et considère que ceux-ci se retrouvent « souvent » sur « des choix de type protectionniste et nationaliste », soit « des positions proches » de celles du Front national (FN) et « la plupart du temps très éloignées des choix des partis de la droite classique et du centre ».
François Asselineau Président de l’Union populaire républicaine
Il est inspecteur des finances dans les cadres de 1985 à 1989, chargé de mission à la direction générale du Crédit national de 1989 à 1991 et chef du bureau Asie-Océanie à la direction des relations extérieures économiques au ministère de l’Économie et des Finances de 1991 à 1993.
Il quitte l’Inspection générale des finances en détachement pour travailler comme haut fonctionnaire au sein de plusieurs ministères français. À partir de 1993, il est tour à tour conseiller pour les affaires internationales de Gérard Longuet puis de José Rossi au ministère de l’Industrie (1993 à 1995) , directeur de cabinet de Françoise de Panafieu au ministère du Tourisme dans le premier gouvernement Juppé, puis chargé de mission au cabinet d’Hervé de Charette au ministère des Affaires étrangères de 1996 à 1997.
Il réintègre l’Inspection générale des finances en 1997, après la dissolution de l’Assemblée nationale, et devient inspecteur général des finances en 2001. Il est directeur de cabinet de Charles Pasqua au conseil général des Hauts-de-Seine de 2001 à 2004 Le 19 octobre 2004, il est nommé délégué général à l’intelligence économique au ministère de l’Économie et des Finances par Nicolas Sarkozy Sa délégation est chargée de « fournir, au gouvernement comme aux entreprises, des analyses renouvelées afin de mieux faire face aux effets de la mondialisation », et d’anticiper les décisions étrangères « qui auraient pour effet de nuire aux intérêts économiques et industriels de la France ».
Selon Christian Harbulot, directeur de l’École de guerre économique, « Le changement d’attribution ministérielle de Nicolas Sarkozy aboutit à la marginalisation de François Asselineau qui, dépité, quitta son poste sans avoir pu passer à l’action. »
François Asselineau est né le 14 septembre 1957 à Paris, est un haut fonctionnaire et homme politique français.
Cédric Leboussi
4.5
pauledesbaux
contente d’avoir suivi ce débat qui m’aura appris à connaître la personne pour laquelle je ne voterai JAMAIS : un collabo de plus et qui plus est ignorant de l’Histoire mettant sur le même pied d’égalité le grand ZEMMOUR et les étrangers qu’il balance aux municipales
ZEMMOUR EST NE EN AGERIE QUI ETAIT LA FRANCE (13 départements français ayant chacun été représenté par un député à l’ASSEMBLEE NATIONALE)
juif d’origine BERBERE premier peule d’AFRIQUE DU NORD ayant subi l’invasion turque conquérant le pays par le sabre ou le coran LES UNS FAISANT LE CHOIX DE RESTER BERBERE ET D IMMIGRER DANS TOUTE L AFRIQUE ORIENTALE (en Israel bien des rues portent le sigle berbère, d’autre pour rester en vie ont choisi le coran, culture que m. asselineau doit ignorer au sujet de MONSIEUR ZEMMOUR…..
asselineau fera des scores tels tous les derniers présidents, députés ou maires qui se seront servis des votre « étrangers » et anti français que celà vous plaise ou non messieurs les libéraux asselineau ne sera pas ma tasse de thé