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Les libertaires dénoncent Sessions procureur général pour des raisons impérieuses lois de marijuana de l’ État

Le 4 janvier, agissant contre l’avis de son propre groupe de travail sur la réduction de la criminalité et de la Sécurité publique, le procureur général Jeff Sessions a annulé la note de service Cole. Le mémorandum Obama époque avait permisaux États de fixer leurs propres règles de cannabis et règlements, avec un minimum d’ intervention par le gouvernement fédéral. En annulant la note de service, l’administration de Trump a bafoué la disposition de la Constitution des États – Unis à réserver la plupartdes pouvoirs aux Etats, un précepte du Parti libertaire (LP) détient comme un élément fondamental de la structure fédéraliste des fondateurs du pays conçu.

« Le mouvement des sessions de rétablir un pouvoir excessif au niveau fédéral comme la saison de chasse d’ouverture », a déclaré Libertaire Comité national président Nicholas Sarwark. « Maintenant , les procureurs fédéraux peuvent tirer leurs fusils de chasse « » la réglementation à volonté, à tout le monde dans l’industrie du pot, que ce soit médical oude loisirs, que ce soit légalement d’ exploitation en vertu des lois de l’ État ou non. Il est temps pour le Congrès d’agir. Ils devraient cesser immédiatement l’ interdiction: cela signifie abroger toutes les lois de drogue et d’ accorder l’ amnistie aux prisonniers fédéraux reconnus coupables uniquement d’infractions relatives aux drogues non – violentes « .

Depuis 2014, l’amendement bipartisan Rohrabacher-Blumenauer (anciennement Rohrabacher-Farr) attaché à toutes les factures de dépenses fédérales, a servi à interdire l’utilisation de fonds fédéraux sur la poursuite de la marijuana médicale, offrant ainsi aux particuliers et aux entreprises que un placage de protection. En 2015, Rep. Tom McClintock (R-Calif.) A proposé un amendement plus fort qui s’appliquerait également àla marijuana récréative et donne force de loi que l’ interdiction de dépenser, mais qui n’a malheureusement pas encore été adopté.

Les libertaires apprécient le fait que d’ autres représentants des partis plus anciens ont également été déplaçant vers l’abrogation de l’ interdiction.

Au rez – de – Sénat le 4 janvier, le sénateur Cory Gardner (. R-Colo), qui fait opposé à la légalisation de la marijuana dans le Colorado, a fustigé Sessions: « Avant sa confirmation, puis-sénateur Sessions … m’a dit qu’il n’y avait pas de plans pour inverser le mémorandum Cole …. Un tweet plus tard … [la politique a été] complètement inversée. » Gardner a promis de mettre toutes les nominations ministère de la Justice en attenEn Décembre, le sénateur Ron Wyden (D-Ore.) A rejoint en tant que coparrain du sénateur Cory Booker de (D-NJ) Marijuana Justice Act (S. 1689), qui supprimerait le cannabis de la liste fédérale des substances contrôlées, ce qui rend légale au niveau fédéral. Mais ce projet de loi est sellé avec une étiquette de prix de 500 $ millions de dollars par année, et selon Jim Moore du Centre Tom McCall pour la politique d’ innovation, il a peu de chance de passer.te jusqu’à l’annulation de la note de service Cole est inversée.

En février 2017, Reps. Tom Garrett (R-Va.) Et Tulsi Gabbard (D-Hawaii) a introduit la loi sur l’ interdiction de la marijuana fin fédérale (HR1227), qui supprimerait le cannabis de la liste des substances contrôlées fédéral. Mais il imposerait encore des sanctions pénales fédérales pour le transport de cannabis dans un état qui l’ interdit.

« Bien que ces efforts semblent encourageants, libertaires attendent les hommes et les femmes que nous avons élus pour nous représenter pour arrêter lambiner, remplir leur serment de défendre nos droits, et se conformer pleinement à la constitution que la loi du pays », a déclaré Sarwark. « Les républicains devraient soutenir mettre fin à l’ interdiction de la marijuana au niveau fédéral comme un problème» des droits de l’ Etat, si rien d’ autre. Mais les démocrates et les républicains devraient se joindre à libertaires pour appuyer son abrogation, en tant que question fondamentale des droits individuels, civils. »

Il se trouve que les données empiriques montrent le principe tenu par le LP depuis sa fondation 1971, que toutes les personnes ont un droit inhérent à recréer ou médicamenter comme ils le souhaitent, tant qu’ils respectent les droits des autres. Depuis le Colorado a légalisé l’ usage médical et récréatif du cannabis, l’ utilisation de la marijuana chez les adolescentes , il a diminué de plus de 18 pour cent, selon l’Enquête nationale sur l’ usagedes drogues et la santé. Une étude publiée par l’American Journal of Public Health a montré aucun changement dans les taux de décès d’accident automobile dans les États de Washington et du Colorado après la légalisation, par rapport aux Etats similaires.

Les attitudes ont aussi évolué. Le dernier sondage de Gallup (2017) montre que 64 pour cent des Américains, y compris la majorité des républicains, soutenir la légalisation de la marijuana. Les Américains ne répondent plus aux tactiques racistes, diviser pour conquérir des premières années de la guerre contre la drogue. En 1994, le chef-politique nationale de Richard Nixon, John Ehrlichman, admis à l’ auteur Dan Baum, « Nous savions que nous ne pouvions pas le rendre illégal d’être soit contre la guerre ou noir [Vietnam], mais en obtenant le public à associer les hippies avec de la marijuana et des noirs avec l’ héroïne, puis criminaliser les deux fortement, nous pourrions perturber ces communautés. Nous pourrions arrêter leurs dirigeants … et les vilipender nuit après nuit sur les nouvelles du soir. Nous ne savions pas que nous étions couchés sur les médicaments? Bien sûr , nous avons fait. »

Selon l’ACLU, les Noirs sont dix fois plus susceptibles d’être emprisonnés pour des infractions liées aux drogues que sont les Blancs, et trois fois plus susceptibles d’être arrêtés. Une étude de Sentencing Project 2016 a conclu que « lois sur les drogues dures sont clairement un facteur important dans les disparités raciales et ethniques persistantes observées dans les prisons de l’ Etat …. Les Noirs sont … 2,5 fois plus susceptibles d’être arrêtés pour possession de drogue. Ceci malgré les preuves que les blancs et les noirs utilisent des drogues à peu près au même taux «

Mais une protection inégale en vertu de la loi n’est pas le seul aspect sinistre du changement de politique Sessions. Il ouvre également la porte large, à la confiscation de biens au civil plus. Juillet dernier, Sessions a dit une foule de professionnels de la force publique Minneapolis: « Nous prévoyons d’élaborer des politiques visant à accroître les confiscations. » La confiscation des biens au civil peut être grand banditisme littéral. Par exemple, si un « alertes » de chiens renifleurs de drogue à l’odeur de la marijuana lors d’ un arrêt de la circulation de routine, sous l’arrêt dans l’ Illinois c. Caballes, un mandat de perquisition n’est pas nécessaire. La recherche peut donner un gramme de marijuana, et l’agent peut saisir le véhicule pas besoin de charges civiles ou pénales.

Avec son attrait de l’ augmentation des revenus, la tactique de la confiscation des biens au civil est beaucoup trop grande tentation qui un des agents du gouvernement fédéral ne devraient jamais être offerts. Le LP appelle le Congrès à supprimer cette tentation immédiatement en adoptant un projet de loi pour mettre fin à l’interdiction de la marijuana inconstitutionnelle, et au Président Trump, qui a fait campagne sur l’ autonomisation des Etats à être responsables de leurs propres lois sur le cannabis, de signer une telle législation.

En 2018 , le Parti libertarien a l’ intention de présenter au moins 2000 candidats fédéraux, provinciaux et les bureaux locaux dans tout le pays. Les Américains peuvent compter sur leurs élus libertaires d’honorer leur serment d’office, et prendre la décision morale, sensée de mettre fin à l’ interdiction, une fois pour toutes