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LA LOI: DOIT ON S’OPPOSER A L’ENTERREMENT DE COULIBALY ET DES FRERES KOUACHI?

L’enterrement ou l’inhumation est un rite funéraire pratiqué dans la majorité des cultures, consistant pour l’essentiel à l’enfouissement d’un cadavre, ou d’un cercueil le contenant, dans le sol ou dans un caveau aménagé dans le sol. Il est pratiqué dans les jours qui suivent immédiatement le décès avec la participation des parents, amis et relations du défunt, après certains rites dans un lieu de culte ou en dehors, dans un lieu généralement public, le cimetière, selon le rituel de la religion du défunt.

En France, le terme enterrement est employé ordinairement pour funérailles ; l’enterrement proprement dit étant appelé inhumation.

Une fois le cercueil ou le cadavre descendu, la fosse est rebouchée et la zone est aménagée sous le nom de tombe, selon les habitudes et modèles en usage localement.

Un second enterrement est parfois pratiqué à la suite d’une exhumation pour des motifs rituels (Italie) ou judiciaires (autopsie).

En France, dans de nombreuses paroisses, pour certaines jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, l’inhumation était faite dans le sol même de l’église, en dépit du manque de place, de la fréquence des épidémies, et, subséquemment, des interdictions réitérées en raison des risques sanitaires pour les fidèles assistant aux messes et autres offices. Les enterrements dans le cimetière avaient un caractère moins sacré, et étaient le sort réservé aux étrangers à la communauté ou aux paroissiens dont la piété ou la vertu n’étaient pas considérées comme un modèle. Au sein du cimetière lui-même tous les endroits n’étaient pas équivalents pour y pratiquer une inhumation ; la fosse commune était le lieu le moins bien considéré puisque, comme son nom l’indique, le défunt, privé de tombe individuelle, était juste placé parmi ceux qui l’avaient précédé et avec les ossements retirés des tombes.

Les communes, les départements et les régions règlent par leurs délibérations les affaires de leur compétence.

Ils concourent avec l’Etat à l’administration et à l’aménagement du territoire, au développement économique, social, sanitaire, culturel et scientifique, à la lutte contre les discriminations, à la promotion de l’égalité entre les femmes et les hommes ainsi qu’à la protection de l’environnement, à la lutte contre l’effet de serre par la maîtrise et l’utilisation rationnelle de l’énergie, et à l’amélioration du cadre de vie. Chaque année, dans les communes ayant bénéficié de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale, au cours de l’exercice précédent, il est présenté, avant la fin du deuxième trimestre qui suit la clôture de cet exercice, un rapport aux assemblées délibérantes des collectivités territoriales et des établissements publics de coopération intercommunale compétents sur les actions menées en matière de développement social urbain. Ce rapport retrace l’évolution des indicateurs relatifs aux inégalités, les actions entreprises sur les territoires concernés et les moyens qui y sont affectés. L’ensemble des indicateurs et des analyses de ce rapport sont présentés par sexe.

Dans les communes et établissements publics de coopération intercommunale ayant conclu un contrat de ville défini à l’article 6 de la loi n° 2014-173 du 21 février 2014 de programmation pour la ville et la cohésion urbaine, le maire et le président de l’établissement public de coopération intercommunale présentent à leur assemblée délibérante respective un rapport sur la situation de la collectivité au regard de la politique de la ville, les actions qu’elle mène sur son territoire et les orientations et programmes de nature à améliorer cette situation. Les données de ce rapport sont présentées par sexe. Ce rapport est débattu au sein du conseil municipal et du conseil communautaire. Lorsque la commune ou l’établissement public de coopération intercommunale est également tenu de présenter le rapport prévu au deuxième alinéa du présent article, ce dernier rapport est inclus dans le rapport prévu au présent alinéa. Le contenu et les modalités d’élaboration du rapport prévu au présent alinéa sont fixés par décret.

Les éléments du rapport prévu au troisième alinéa font l’objet d’une consultation préalable des conseils citoyens présents sur le territoire. Le conseil municipal et le conseil communautaire sont informés du résultat de cette consultation lors de la présentation du rapport.

Les communes, les départements et les régions constituent le cadre institutionnel de la participation des citoyens à la vie locale et garantissent l’expression de sa diversité.

Comments

  • CITOYEN DE FRANCE
    janvier 12, 2015

    Oui les Français on… tout à fait le droit de s’opposer à l’enterrement et au funéraire de ces personnes sur leur sol, en demandant au chef de l’État Français de les envoyés dans leur pays respectif pour éviter tout conflit communautaire dans le pays via leurs Ambassades.
    Écrire le chef de l’État Français à cette adresse : http://www.elysee.fr/ecrire-au-president-de-la-republique pour s’opposer à l’enterrement et au funéraire de ces personnes sur leur sol Français.

  • Mfeivel
    janvier 13, 2015

    On peut :

    a) les enterrer dans une peau de porc
    b) jeter leur cadavre à la mer
    c) les brûler

    Mais surtout pas les enterrer dans une tombe repérable qui deviendrait un lieu saint pour tous les détraqués islamistes. De plus, leurs funérailles deviendraient vite une démonstration ou une publicité pour ce qu’ils ont fait ; il y viendrait beaucoup de monde pour leur rendre les derniers hommages.

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