LE SYNDICAT FO RECLAME PLUS DE 37 MILLIONS D’EUROS A BRICORAMA
Pour remplir ses caisses, le syndicat FO réclame 37,7 millions € à Jean-Claude Bourrelier, président de Bricorama. L’objet du litige remonte à plus d’un an. A la demande des syndicats FO et CGT, le TGI de Pontoise avait, le 6 janvier 2012, interdit par ordonnance, aux 31 magasins de la région Ile-de-France d’ouvrir le dimanche.
Pour ne pas être obligé de supprimer des emplois, Jean-Claude Bourrelier avait fait appel. Et en vertu du caractère suspensif de l’appel, les magasins étaient restés ouverts ce jour-là.
Mais par un arrêt de la Cour d’appel de Versailles du 31 octobre, l’interdiction a été confirmée. Ledit arrêt est actuellement frappé d’un pourvoi en cassation.
Résultat, Bricorama perd 15% sur son chiffre d’affaire, soit, selon les projections, 25 millions € par an. De plus, les clients prennent leurs habitudes chez les concurrents Leroy Merlin et Castorama (70% du marché) qui continuent d’ouvrir ce jour-là.
Dans sa lettre au Premier ministre, Jean-Claude Bourrelier dénonce cette situation qui « révèle un désordre institutionnel ». « Sur le marché des grandes surfaces de bricolage, Bricorama est la seule enseigne à subir les conséquences de cette interdiction » proteste son président, ce qui constitue une réelle concurrence déloyale.
Depuis octobre, Force Ouvrière menace Bricorama en justice, et demande 37,7 millions € en réparation du préjudice d’avoir travaillé les dimanches entre janvier et octobre.
Au passage, le salaire des dimanches travaillés était multiplié par trois et 94% des salariés avaientt approuvé le dispositif prévoyant le travail dominical.
Cerise sur le gâteau, la direction a « jugé opportun d’accorder des contreparties aux salariés en raison de la perte de rémunération liée à la fermeture le dimanche » et subit donc une augmentation de ses charges.
D’après Pierre Bergerault
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GENEVEY Maryse
Monsieur Jean-Claude Bourrelier, Les magistrats ne dirigent pas une entreprise. Toutefois, il me semblait que les pièges qui font agoniser les animaux pendant des heures, dans la terreur, le froid, la faim, la douleur, avaient été interdits par l’Union européenne. Il faut croire que non, malheureusement puisque divers magasins Bricorama incitent à la violence dans la société en présentant des pièges où par exemple, les moineaux vont s’arracher les ailes.
C’est, par exemple, le cas du magasin de LALINDE, en Dordogne 24 où sont mis à la vente des PIEGES A COLLE.
En aucun cas, les animaux doivent être vendus dans un magasin. LES ANIMAUX NE SONT PAS DES PELUCHES. Ils ressentent émotions et sentiments.
Par ailleurs, aucun magasin qui veut se conformer à une éthique, ne peut proposer des PIEGES.
Je sollicite de votre haute bienveillance, Monsieur Jean-Claude Bourrelier, pour que vous RETIRIEZ DE LA VENTE CES PIEGES qui même dans ce pays de viandards de Dordogne n’honore pas votre enseigne.
Je vous remercie de votre lecture et vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de ma considération distinguée.
Maryse Genevey à Mérignac 33700